Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Brasilidade - notícias com um toque brasileiro
exposition
16 novembre 2013

Lina Bo Bardi : Together

Exposition jusqu'au 19.01.2014 au Pavillon de l'Arsenal

En partenariat avec Arper avec le soutien de l’Instituto Lina Bo e P.M. Bardi et du SESC

L’exposition « Lina Bo Bardi : Together » est un hommage au travail de Lina Bo Bardi ainsi qu’à sa philosophie. Elle ambitionne aussi de montrer la vitalité et l’élan créatif que son œuvre et ses écrits continuent d’inspirer, particulièrement aujourd’hui où l’on redécouvre son travail au-delà des frontières du Brésil.

lina

Architecte, designer, rédactrice, critique, commissaire d’exposition, collectionneuse... la carrière de Lina Bo Bardi s’invente multiple et populaire.

'Lina n’a eu de cesse de transcender les genres pour tenter de saisir l’éthique, la définition et le rôle même de l’Architecte. En résulte, chose remarquable, une quinzaine de réalisations composites qui ne révèle aucune dépendance formelle, mais une grande diversité d’actions et une variété de vocabulaires, de l’enveloppe au mobilier, à la croisée des champs et des cultures. Plus fidèle au concept d’émancipation de la modernité qu’à l’abstraction et au formalisme, l’ancienne élève de Gio Ponti interprète et réinterprète les préceptes modernes, y compris dans leur matérialité, des pans de verre de la Casa de Vidro (1949- 1952) au béton brut du SESC Pompeia (1977- 1986). Avec Lina Bo Bardi, il n’existe jamais de solution préétablie ou de recette préconçue ; ni matériau fétiche, ni assemblage miracle, mais un corpus d’espaces libérés, à l’image des grandes galeries du MASP de São Paulo (1957-1969)'.

Sesc-Pompeia-Lina-Bo-Bardi

'Feuilleter le portfolio de ses œuvres invite à la découverte de croquis spontanés et habités, de propositions métissées et généreuses, en réponse à des contextes politiques et des enjeux divergents. L’ensemble aux contours variables et à la géométrie forte balance entre contenu et forme et témoigne d’avancées, d’ordre et de progrès, emblème d’un pays et d’un peuple en construction. Ses architectures reposent tant sur l’expérimentation que le procès de fabrication et le développement du programme, rendant sa production attentive aux aspirations de ceux qui la vivent. Lina Bo Bardi s’attache aussi aux arts modestes et populaires, à l’empreinte et l’histoire des lieux'.

'En associant la pratique et la technique à la nécessité de prise en compte du savoir-faire quotidien et de la vie des gens, Lina Bo Bardi écrit, au fil des chantiers, ses architectures comme des aventures humaines'.

LINA-BO-BARDI-2

'Il est indispensable de considérer le passé comme un présent historique, toujours vivant, nous aidant à éviter les pièges et de construire un autre présent, un véritable présent'. Lina Bo Bardi

www.pavillon-arsenal.com

 

Publicité
Publicité
22 octobre 2013

Amilcar de Castro, icone du néo-concrétisme brésilien

Vernissage le 24 octobre

Exposition dy 25 octobre au 30 novembre

Galerie Ricardo Fernandes - 75003 Paris

internet

17 octobre 2013

Fernanda Gomes : son nouveau projet moderniste associe éthique et esthétique

Centre international d’art et du paysage


Île de Vassivière – 87120 Beaumont du Lac


20 octobre 2013 - 5 janvier 2014

VERNISSAGE : Samedi 19 octobre à 17h

Pour sa première exposition personnelle dans une institution en France, l’artiste brésilienne Fernanda Gomes réalise un ensemble de nouvelles œuvres à partir de son expérience directe du lieu et de ses ressources. Inscrivant sa pratique dans une économie de moyens, l’artiste produit ses œuvres sur place à partir de matériaux en bois et d’objets trouvés dans la région. Après les avoir partiellement repeints ou modifiés, elle les a agencés selon une grille invisible, venant ainsi introduire de nouveaux rythmes au bâtiment.

De cet équilibre de matériaux aux couleurs délibérément réduites, se détachent par endroits d’infimes objets du quotidien, qui nous demandent de nous approcher pour en observer la présence dans l’espace. Chaque élément ajouté révèle de manière concrète le vide qu’il créé, la lumière, et les mouvements de nos corps parcourant l’espace.

Le travail de Fernanda Gomes s’inscrit dans une tradition moderniste qui envisage le moderne dans son essence : un projet entier de vie où éthique et esthétique sont indissociables. Il puise ses racines dans des mouvements aussi divers que le suprématisme et le constructivisme, le « néo-concrétisme » brésilien, l’arte povera et l’art conceptuel. Il s’ancre profondément dans le réel, tant dans son mode de production que dans sa perception. L’exposition à Vassivière ambitionne d’offrir aux visiteurs les conditions pour qu’ils prennent le temps de vivre une expérience propre à chacun.

Fernanda Gomes est née en 1960 à Rio de Janeiro (Brésil), où elle vit. Son travail a été inclus dans de nombreuses biennales : São Paulo (2012 et 1994), Venise (2003), Sidney (1998), Istanbul (2013 et 1995), Rennes (2012). Il figure, entre autres, parmi les collections du Centre Pompidou à Paris, de la Tate Gallery de Londres, de l’Art Institute de Chicago, du Miami Art Museum, du Musée d’art moderne de Rio de Janeiro ou encore du Museu Serralves de Porto dont elle a créé pour le parc de sculptures une œuvre permanente.

En France son travail a été présenté à la Galerie Emmanuel Hervé à Paris (2012) ainsi que dans des expositions collectives : « Champ d’expériences », Centre international d’art et du paysage de l’île de Vassivière (2012), « In Which the Wind is also a Protagonist », La Générale à Sèvres (2010), « Da Adversidade Vivemos », Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris (2001), « Côte à Côte » au Capc Musée d’Art Contemporain de Bordeaux (2001).

fernandagomes

 

 

5 juillet 2013

Nouvelles Vagues au Palais de Tokyo présente des nombreux artistes brésiliens

Jusqu’au lundi 9 septembre

Nouvelles vagues réunit diverses expositions organisées par 21 curateurs internationaux. L’exposition Companionable silences présente, entre autres, des œuvres de Tarsila do Amaral (1886-1973) ; Flavia Metzler et Matheus Rocha Pitta sont parmi les artistes exposés dans le cadre d’Artesur, Fictions collectives ; et la sculpture Baitogogo d’Henrique Oliveira, occupe l’alcôve du niveau 2 du bâtiment.

http://palaisdetokyo.com

siteweb_nouvellesvagues

31 mai 2013

Langages : Entre le dire et le faire, autant de façons de représenter et d’imaginer le langage

L’exposition propose des travaux qui mettent en relation différents langages. L’indicible et l’incompréhensible se retrouvent alors protagonistes d’une mise en scène qui souhaite interroger les dynamiques et les limites du langage.

Jusqu’au 27 juillet

Fondation Nationale des Arts Graphiques et Plastiques Paris

Du 14 juin au 13 juillet 2013

Fondation Nationale des Arts Graphiques et Plastiques - Rotonde Balzac

11 rue Berryer, 75008 Paris

Entrée libre

Performances de deux artistes portugais à ENSBA (6è Paris):

Susana Mendes Silva le 5 juin 2013 à 18h et 19h

Pedro Barateiro le 11 juin 2013 à 18h30

Il existe autant de façons de penser le langage qu’il existe de théoriciens qui s’y sont intéressés. Et autant de façons de le représenter que d’artistes.

Langages : Entre le dire et le faire incite justement à questionner le langage.

Qu’est-ce que le langage ? Comment l’utilise-t-on ? Quelles en sont les limites ? Telles sont les interrogations principales qui jalonnent le parcours de l’exposition.

Plus que de faire un constat définitif, l’exposition cherche à ouvrir les réflexions liées au langage. Elle donne à voir comment les usages des différents langages affectent les relations entre les personnes, les objets et comment le fait de comprendre ou pas un langage peut affecter nos corps.

Les œuvres présentées y font parler le langage, sans jamais chercher à établir une théorie ou à répondre aux questions posées. Des liens invisibles se tissent alors entre les œuvres présentées et mettent en miroir les sensibilités de chaque artiste. Vidéos, photographies, installations sonores et visuelles sont autant de façons de représenter et d’imaginer le langage, dans toute sa complexité. Le langage devient alors ici le prétexte à l’expérimentation mais aussi le lieu où l’expérimentation rencontre la poésie. 

En partenariat avec la Biennale de São Paulo 

http://www.dailymotion.com/video/xzfad1_langages-entre-le-dire-et-le-faire-24-avril-27-juillet-2013_creation

Publicité
Publicité
21 mai 2013

Exposition : 115 œuvres du Centre Pompidou réalisées par des femmes arrivent à Rio

Elles

Centro Cultural Banco do Brasil do Rio

Du 23 mai au 14 juillet

Le monde de l'art, contrairement à la politique, est encore très déséquilibré. Pour tenter de remédier à cette inégalité, l’exposition Elles essaye « non seulement de parler de l’art et de féminisme, mais de raconter l'histoire de l'art moderne et contemporaine à travers les yeux des femmes en un projet plus global. »

Cette femme pourrait être Marina Abramovic qui s’arrache les cheveux en criant, en vociférant que l'art doit être beau dans une vidéo des années 1970. Ou représentée par l'affiche des Guerrilla Girls, qui répertorie les statistiques embarrassantes du Metropolitan à New York, où 5% des artistes de la collection sont des femmes et 85% des femmes représentées sur les toiles sont nues.

L’exposition au Centre culturel de Rio souhaite ‘déshabiller’ la production visuelle de ces femmes. S'il y a un quiconque pouvoir dans la séparation des sexes dans un moment historique où tout semble être mêlé pour toujours, il serait juste de se rappeler que les visions du monde peuvent être liées au sexe ou réduites par elle.

Frida Kahlo, Louise Bourgeois, Lygia Clark, Leticia Parente, Sigalit Landau, Anna Maria Maiolino, Sophie Calle, Nan Goldin sont quelques-unes des artistes présentées dans l'exposition, une réflexion sur le corps et son comportement dans un journal visuel intime et explicite d’une forte résonance politique.

278204-970x600-1

©Anna Maria Maiolino

2 avril 2013

Oscar Araripe, peintre brésilien, expose une sélection d’œuvres à la Teodora Galerie à Paris

Flore

Vernissage le 11 avril à 18H

Exposition jusqu’au 7 mai

Teodora Galerie Art Contemporain

25, rue de Penthièvre Paris

Oscar Araripe a réalisé une centaine d'expositions, en majorité solo, au Brésil, aux USA, en France, en Espagne, en Slovénie, en Grèce, à Cuba, au Mexique et au Royaume-Uni.

Peintre paysagiste, de marine, réaliste et subjectif, il possède une œuvre importante, présentée dans le catalogue de la fondation qui porte son nom. Son œuvre, tant en peinture qu'en dessin, novatrice, joyeuse et vivante, estimée à plus de 3.000 images, a mérité l'attention critique d'intellectuels réputés brésiliens et étrangers.

A seguir, uma entrevista exclusiva do pintor.

Foto Oscar Araripe para Imprensa

Brasilidade : Oscar, qual é a diferença entre pintura "brasileira" e pintura "francesa"?

Oscar  Araripe : Eu diria que a pintura francesa tem “mais escola” e a pintura brasileira “mais espontaneidade”. Mas, hoje, isso importa muito pouco. O que vale é a “pessoa” do artista, a “pessoalidade” da obra. Se fôssemos procurar uma real diferença, eu diria que ela existe na valorização. E quanto mais a pintura é pessoal, mais é admirada. A verdade é que a pintura é uma arte muito difícil e portanto, raríssima de ser achada. Além disso, sofre, como as demais artes (e a educação) de falta de apoio oficial e privado. E, por fim, está sendo instrumentalizada politicamente. Ou seja, confunde-se propositadamente ou por ignorância a Arte com a Política. Hoje, no Brasil, lembrando o antigo Egito, onde tudo era deus exceto Deus, tudo é arte, exceto a Arte. E, como sabemos, não é assim. Já na França, que cultiva e protege suas artes, há séculos, tudo é bem diferente. E, entre as artes, a Pintura tem um destaque muito especial. Os franceses fazem de tudo, e muito bem, mas tem uma paixão pela pintura. Tudo converge para a Pintura.

Brasilidade : Como anda o mercado artistico brasileiro ?

Oscar  Araripe : Tem dois. Um é dos jovens, das pessoas que podem comprar e o fazem, às vezes com sacrifício, mas compram, e cada vez mais. É um “mercado” vivo e inteligente. Existe mais na sombra, mas é muito sólido e várias obras de vários artistas vem sendo construídas por ele. O outro é um blefe. artística e economicamente falando. É mais lavagem de dinheiro. Vive de verbas internacionais e de recursos nada transparentes. A verdade é que nossa imprensa é burra e reboquista: gosta do que lá fora dizem que está sendo gostado e replicam ad nausea aqui para nós. Faz sensacionalismo com a “arte” que se presta pra isso.

Brasilidade : O que o senhor acha da França em modo geral? Qual é a importancia de expor em Paris?

Oscar  Araripe : A França é adorável, porque respeita a cultura e ama as artes. Paris é a meca do artista. Mas, pelo menos na Pintura, a França sofre de muitos dos males que a atingem nos outros países. Expor uma boa pintura em Paris é ajudar a salvar a boa arte no mundo.

www.oscarararipe.com.br

OSCAR ARARIPE - FLORES TEODORA 23 - 040CM X 060CM - ACRÍLICA SOBRE TELA SINTÉTICA - 2012

12 mars 2013

Trésors de la Chine ancienne présente les chef-d’œuvres de la prestigieuse collection Meiyintang

Du 13 mars au 10 juin

Musée Guimet

Une centaine de bronzes archaïques chinois datant des deuxième et premier millénaires avant notre ère sera présentée jusqu’à juin au musée des arts asiatiques Guimet à Paris.

Les bronzes rituels de la collection Meiyintang ont une fonction propitiatoire ou magique. En Chine, dès le XIXe siècle avant J.-C., ces bronzes sont les instruments privilégiés des rites offerts aux mânes des ancêtres pour solliciter leur puissance, notamment sur le champ de bataille.

www.guimet.fr

214637_tresors-de-la-chine-ancienne-bronzes-rituels-de-la-collection-meiyintang

13 février 2013

Lucia Mamos-Moreaux participe à l’exposition La règle du jeu

Exposition collective inspirée par le thème du sport. De nombreux artistes contemporains vont se relayer pour s’approprier les objets de différentes activités sportives, pour les détourner et mettre en valeur la beauté des gestes sportifs et artistiques, physiques et esthétiques.

Exposition du 17 au février au 17 mars

Galerie "A l'Ecu de France"

1, rue Robert Cahen 78000 Virofley

Ouvert tous les jours de 14h à 19h - entrée libre

Lucia Mamos-MoreauxCapoeira

30 novembre 2012

Fontainebleau : Hommage à la forêt, la nature dans tous ses états

Exposition présentée jusqu'au 28 janvier 2013

Maîtres renommés ou moins célèbres réunis par le hasard du marché, tous avaient trouvé une source d’inspiration commune en forêt et avaient traité le sujet de manière personnelle, certains avec une grande liberté créatrice, d’autres sous influence.

L’ensemble des trente-huit œuvres retenues parmi le fonds de la ville de Fontainebleau témoigne tout particulièrement de ces différentes sensibilités.

Érigée en réserve biologique, la forêt de Fontainebleau - considérée comme le "Poumon vert" de l'Ile-de-France - s'étend sur plus de 20 000 hectares. Célèbre pour ses chaos rocheux de grès et ses déserts de sable, elle offre une extraordinaire variété de paysages et plus de 300 kilomètres de sentiers pédestres balisés.

Reconnue de façon internationale comme la plus remarquable des forêts de plaine de l'Europe occidentale, la forêt de Fontainebleau est classée depuis 1998 "réserve mondiale de la biosphère". Plus de 5 000 espèces végétales et plus de 6 600 espèces animales y sont recensées. Ce lieu unique, premier site naturel de France et d'Europe en terme de visiteurs, abrite également une importante faune sauvage : cerfs, chevreuils, sangliers, renards, petits mammifères, oiseaux...

www.chateaudefontainebleau.fr

1351269172976_affichehommagealaforet

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 > >>
Publicité