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Brasilidade - notícias com um toque brasileiro

8 février 2009

Carnaval 2009 en direct de Rio de Janeiro

carnaval2009 Suivez toute l'actualité du Carnaval 2009 en direct de Rio avec www.obabrasil.com
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8 février 2009

Manu Chao lance la tournée brésilienne avec un show à São Paulo

Manu Chao réalise sept shows au Brésil en février, dont un à São Paulo, le 11. Le musicien franco-espagnol Manu Chao démarre sa tournée au Brésil en février par la ville de São Paulo avec une présentation le 11 février au Espaço das Américas. Le dernier show du musicien était en 2007 lors de la promotion de son album La Radiolina. Manu Chao est connu par ses chansons dont les paroles sont un mélange de castillan, de français et d’anglais avec une forte accroche multiculturelle et qui ont séduit la jeunesse de gauche au début des années 2000. São Paulo pour les fans de rock : l’agenda des artistes étrangers de passage au Brésil les mois prochains - La "boy band" Backstreet Boys, phénomène pop des années 90, présente son nouvel CD "Unbreakable", le 5 mars au Credicard Hall (S. Paulo). - Deep Purple retourne au Brésil les 6 et 7 mars prochains à São Paulo, à la Via Funchal. - Simple Plan sera à São Paulo, le 24 mars, au Credicard Hall pour la présentation de son nouvel CD. - Motörhead sera à S.Paulo le18 avril, à la Via Funchal. La bande présent son CD "Motörizer". Source : Folha
6 février 2009

Journée rencontre franco-brésilienne à Villeneuve lès Maguelone

Littérature, écologie et métissage seront les thèmes abordés pendant cette journée rencontre franco-brésilienne dimanche, 8 février, à partir de 18h au Centre Culturel Bérenger de Frédol. Au programme : Le métissage à travers la littérature brésilienne, par Richard Roux, professeur de littérature à l’université d’Aix-en-Provence Parler d’écologie au Brésil – Dynamiques agricoles, par Ludivine Eloy, géographe au CNRS de Montpellier Métissage et population, par le professeur Francis Uteza Le chant et la danse, outils d’intégration, d’histoire, de culture, par le groupe Membros En plus : Spectacle de danse Gastronomie brésilienne Projection du documentaire L’Île aux fleurs, de Jorge Furtado (13 mn) Entrée Libre. Théâtre de Villeneuve les Maguelone 235 Bd des Moures – 34750 Villeneuve lès Maguelone 04 67 69 58 00
6 février 2009

Rétrospective David LaChapelle à La Monnaie

La première rétrospective consacrée à David LaChapelle sera présentée à La Monnaie de Paris du 6 février au 31 mai 2009. 158f3c29_4e0e_418b_a8ec_36d670e38322_augure
5 février 2009

Le Brésil remporte le 1er prix dans un festival d'art au Japon

L’installation de l’artiste brésilien est l'un des points forts du plus grand événement d’animation, du manga et de l'art high-tech du Japon : le Japan Media Arts Festival. L'installation interactive "Oups", de Márcio Ambrosio, qui mêle animation et mouvement humain, a remporté le premier prix dans la catégorie Arts et a été l'un des plus regardés par les visiteurs pendant l'ouverture de l'exposition. Pendant les 11 jours du festival, les visiteurs pourront voir, entendre et interagir avec d'autres 169 œuvres choisies parmi un total de 2.146 inscriptions venues de 44 pays. "Oups!" Dans l’installation de l'artiste brésilien, l'idée est de transformer le visiteur en acteur principal dans une séquence animée. C'est comme si on était dans un film de Roger Rabbit. « Oups ! est né de la volonté de mélanger les nouvelles technologies et l'animation classique d’une manière artistique et ludique», a dit Ambrosio. Diplômé en design industriel et arts, le brésilien a travaillé dans différents domaines comme l'animation, la publicité et la post-production avant de lancer son propre studio de création, Kosmos. Aujourd'hui, l'artiste rêve de créer une vidéothèque, un réseau pour illustrateurs, animateurs et graphistes du monde entier. « Celui qui souhaite créer une animation pour Oups! pourra me l’envoyer et elle sera incluse dans le projet », a-t-il dit. « Ainsi, à chaque nouvelle exposition, il y aura toujours des nouvelles animations, ce qui donne un caractère infini au projet ». Source : BBC Brasil 090204105659_090204oups_main226_170
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1 février 2009

Brésil : Greenpeace dénonce le rôle de l’élevage dans la déforestation

Greenpeace a publié fin janvier un rapport édifiant - « L’empreinte de l’élevage en Amazonie dans le Mato Grosso : l’Etat de la destruction » - comprenant une série de cartes qui montrent le lien direct entre l’élevage et la déforestation dans cet Etat affichant le taux le plus élevé de déforestation au Brésil. L’élevage est aujourd’hui le premier moteur de la déforestation dans l’Amazonie Brésilienne, puisque 79,5% des terres déboisées y sont converties en pâtures pour le bétail. 

 De 1996 à 2006, dix millions d’hectares – une superficie équivalente à celle de l’Islande- ont été rasés pour l’élevage bovin. Le Brésil possède par ailleurs le plus important cheptel au monde et est aujourd’hui le premier exportateur mondial de viande de bœuf. Le gouvernement souhaite représenter 60% de ce marché mondial à l’horizon 2018, soit le double de sa part actuelle. « La déforestation étant responsable de 75% des émissions de gaz à effet de serre brésiliennes, il est plus que temps pour le gouvernement de recouvrer la raison et de stopper la déforestation de l’Amazonie. Ceci passe par l’arrêt de l’expansion de l’élevage dès maintenant. » Le Brésil est actuellement le 4ème émetteur de gaz à effet de serre et donc le 4ème pays le plus pollueur au monde. Source : Greenpeace
30 janvier 2009

Zoom sur la BD Brésilienne

La naissance des comics brésiliens, de la création des personnages aux copies étrangères. Comment Superman, Zorro et Popeye ont-ils débarqué au Brésil ? Dans les plumes : le perroquet Zé Carioca, l’ennemi numéro 1 du canard Donald ! Le Brésil est le premier pays à avoir accueilli une exposition internationale de bandes dessinées, à São Paulo, en juin 1951. Des auteurs américains comme Alex Raymond ("Flash Gordon"), Milton Caniff ("Steve Canyon") et Harold Foster ("Prince Valiant") participent à la manifestation en envoyant des dessins originaux. En 1869, Angelo Agostini, un italien du Piémont immigré au Brésil, commence à publier dans la revue « Vida Fluminense », les "Aventuras de Nhô Quim" qui racontent les aventures d’un paysan riche mais naïf, à la ville. Dix ans après, Agostini fonde la « Revista Ilustrada » dans laquelle il développe entre autres "As Aventuras do Zé Caipora" (1883-1906). Fin 1905, le journaliste Bartolomeu de Souza e Silva créé « O Tico-Tico », la première revue enfantine brésilienne à publier des histoires en BD qui s’inspire du magazine français "La semaine de Suzette" et dont le personnage principal prend le nom au Brésil de Felismina. Malgré la présence de quelques auteurs nationaux - comme Luís Sá ( "Reco-Reco, Bolão e Azeitona"), Jota Carlos (« Juquinha et Lamparina ») et Max Yantok ("Chico Muque") - la plupart des récits et des super-héros brésiliens étaient des copies de bandes dessinées étrangères. "O Morcego", est un mélange de Batman et de Fantasma, tandis que "O Bola de Fogo" (de Wilson Fernandes) fait penser à la « Torche humaine ». Le personnage « Chiquinho » n’était pas réellement brésilien comme l’ont cru longtemps les lecteurs mais directement tiré du "Buster Brown" de Richard Outcault créé dans le New York Herald en 1902. Dans les années 30-40, la revue « O Cruzeiro » accueille l’un des personnages les plus populaires de la presse brésilienne : "Amigo da onça" ("L’ami du jaguar"), créé par le dessinateur Péricles de Andrade Maranhão en 1943 et publié jusqu’en 1962. Le « Supplemento Juvenil » créé en 1934 par Adolfo Aizen est un hebdomadaire encarté dans le quotidien « A Nação ». Les auteurs Monteiro Filho, Fernando Dias da Silva, Salvio et Antonio Euzébio y participent aux côtés des dessins américains de Tarzan, Flash Gordon, Mandrake et Popeye. Pour concurrencer « Supplemento Juvenil », Roberto Marinho lance le « Globo Juvenil » et il passe un accord d’exclusivité avec le King Features Syndicate (1939) et commence à publier presque tous les grands succès du concurrent. Mais le plus grand succès de Marinho est le magazine « Gibi ». Dans son premier numéro, on y trouve "Li’l Abner" d’Al Capp, "Cesar e Tubinho" de Roy Crane et "Barney Baxter" de Frank Miller. Dans les années 40, la maison d’édition Brasil-América (Ebal), fondée par Adolfo Aizen, intensifie à son tour la production des comics. Le label qui deviendra l’un des plus importants d’Amérique du Sud, publie Superman, Batman, Zorro, Bugs Bunny, Tom et Jerry, Spiderman, Thor, etc. Dans les années 50, Donald est le premier des héros Disney à débarquer au Brésil dans la revue « O Pato Donald » lancée par les Editions Abril de Victor Civita, rapidement suivie de Mickey et Tio Patinhas (oncle Picsou). « O Pato Donald » publie aussi les aventures de Zé Carioca (le perroquet), qui aura ensuite sa propre publication. Le succès de la BD enfantine brésilienne Dans les années 60, Ziraldo Alves Pinto imagine « Saci Pererê », un petit lutin noir unijambiste qui séduit les enfants par sa naïveté, publié dans O Cruzeiro. Ziraldo est également l’auteur de personnages populaires comme "The Supermãe" et "Menino Maluquinho". Mais le plus grand succès d’édition jamais enregistré dans le pays est sans aucun doute la série imaginée par Maurício de Sousa. Avec "A Turma da Mônica", le dessinateur développe toute une série de personnages autour de Mônica (inspirée d’une des filles de l’auteur), une fillette à la force phénoménale, Cascão, Cebolinha et Magali. En 1973, la revue Mônica inspirée de l’héroïne se vend à plus de 200.000 exemplaires. Les produits dérivés fleurissent, tout comme les adaptations cinématographiques et les parcs d’attractions (à São Paulo et Curitiba). En dépit de la concurrence avec les comics, la série s’exporte même aux Etats-Unis, en Europe et en Amérique latine. perere Source : ToutenBd
30 janvier 2009

Zoom sur la BD brésilienne # 2

L’horreur et l’érotisme dans la BD adulte La bande dessinée adulte voit entre 1950 et 1980 se développer des genres jusqu’ici peu exploités. C’est le cas par exemple des histoires horrifiques - dont le précurseur était Renato Silva (avec "A Garra Cinzenta"). Ce genre d’histoires, bannies aux Etats-Unis qui nagent en pleine guerre froide et maccarthysme, se multiplient dans les magazines brésiliens comme "O Terror Negro" (Editions La Selva). Les BD sont signées Jayme Cortez, Rodolfo Zalla, Júlio Shimamoto, Eugênio Colonnese, Nico Rosso, Flávio Colin ("O Morro dos Enforcados"). La bande dessinée érotique connaît un essor sans précédent dans les années 80, suivant l’exemple d’un certain Carlos Zéfiro qui publie depuis les années 50 des BD pornographiques vendues sous le manteau ("Os catecismos"). Sa véritable identité est tenue secrète jusqu’à ce que Playboy ne la révèle en 1991, un an avant sa mort. Carlos Zéfiro était en réalité un fonctionnaire de 70 ans, de son vrai nom Alcides Aguiar Caminha. Les années 70 sont en revanche peu favorables aux bandes dessinées de critique sociale destinées aux adultes à cause de la censure. Durant la dictature militaire (1964-1984), Ziraldo s’oppose à la répression en vigueur en fondant avec d’autres auteurs humoristes (Paulo Francis, Tarso de Castro, Jaguar, Millôr Fernandes, Ivan Lessa) « O Pasquim », le plus important journal non-conformiste de la presse brésilienne. Henfil y publiera notamment "Os Fradinhos" (connus aussi à l’étranger sous le nom de "The Mad Monks"), une série anti-cléricale et anti-américaine à l’humour acide. Il est aussi l’auteur de "Grauna" dans « Jornal do Brasil ». O Balão, un fanzine né à l’université de São Paulo (USP) en 1972, révèle de son côté Luís Gê, Kiko, Angeli, Paulo et Chico Caruso. Dans les années 80, la pression se relâche. De plus en 1983 une loi oblige les éditeurs brésiliens à publier au moins 50% d’œuvres nationales. En profitent Laerte ("Piratas do Tietê"), Glauco ("Geraldão"), Angeli ("Chiclete com Banana"), Chico et Paulo Caruso ("Avenida Brasil") et Fernando Gonsales ("Níquel Náusea"). piratas Source : ToutenBd
30 janvier 2009

Zoom sur la BD brésilienne # 3

Les auteurs brésiliens misent sur l’étranger Dans les années 90 cependant, la crise économique affecte fortement le marché de la bande dessinée. Des maisons d’édition indépendantes qui éditent seulement des BD brésiliennes comme le magazine « Metal Pesado » mettent la clé sous la porte. De nombreux dessinateurs commencent à travailler à l’étranger, aux Etats-Unis en particulier, et construisent l’essentiel de leur carrière là-bas. Adepte du style hyper-réaliste, Otávio Cariello, par exemple, illustre "Deathstroke" et "Black lighting" chez DC Comics ou "Lovecraft" (Malibu et Caliber Press). Pour les personnages de la série nord-américaine "Queen Of The Damned" (1993) basée sur le roman d’Anne Rice, il s’inspire des caractéristiques physiques de l’ancien président brésilien Fernando Collor de Mello et de l’ancien ministre de l’Economie Delfim Netto. Marcelo Campos, lui, dessine des histoires de "La Ligue de Justice", "Guy Gardner" (DC) et "Ironman" (Marvel). Roger Cruz a travaillé sur la saga "Les ères d’Apocalypse" (Marvel) et pour la revue américaine "X-Men". Léo (Luiz Eduardo de Oliveira) qui s’est d’abord installé au Chili avant de retourner au Brésil, a ensuite réalisé en France les séries "Aldebaran", "Betelgeuse", "Kenya" (avec Rodolphe) et "Dexter London" avec Serge Garcia. Le dessinateur José Roosevelt qui vit en Suisse a signé des séries comme "L’horloge" et "La table de Vénus" aux Editions Paquet. Source : ToutenBd
28 janvier 2009

Davos 2009: les Brésiliens sont les moins pessimistes face à la crise

Le Forum économique mondial débute ce mercredi à Davos, en Suisse, avec les cadres dirigeants internationaux en pleine panique face à la crise financière mondiale. Parmi les participants, les Brésiliens sont les moins pessimistes. La confiance des dirigeants est tombée à son plus bas niveau depuis 2003. Seulement 21% d'entre eux se disent convaincus que la croissance sera positive au cours des 12 prochains mois. Dans le cas des dirigeants du Brésil, 33% des personnes interrogées croient à la croissance en 2009, 50% de plus que la moyenne mondiale. Les plus optimistes sont les Indiens : 70% d’entre eux croient à la croissance. D'autre part, les cadres les plus pessimistes sont ceux des pays riches: seulement 5% des Français, 8% des Italiens, 9% de Japonais, 12% des Britanniques, 13% des Américains et les Espagnols attendent une augmentation des recettes à court terme. Alternative au Forum économique, le Forum social mondial (FSM) a commencé hier et se terminera le dimanche (1er février), à Belém (Pará). Créée en 2001 à l'initiative du Brésil et des ONGs étrangères, le FSM coïncide avec la réunion de Davos et sert de point de rencontre pour la discussion des alternatives aux politiques néolibérales. Forum social mondial réuni cinq présidents d'Amérique latine La neuvième édition du Forum social mondial réunira les présidents de gauche des cinq grands pays d'Amérique latine. Sont confirmés, en plus du brésilien Luiz Inácio Lula da Silva, Hugo Chávez (Venezuela), Evo Morales (Bolivie), Rafael Correa (Équateur) et Fernando Lugo (Paraguay). Les présidents ont été invités à répondre aux deux principaux thèmes du forum cette année: "l'échec" du système financier mondial et la recherche d'alternatives pour le développement durable - d'où le choix de l'Amazonie comme siège. Investissements Cette année, le Forum social mondial aura le plus grand volume d'investissements depuis sa création. Afin de permettre à la capitale du Pará d’assumer les frais d’infrastructure, de sécurité et les soins médicaux aux plus de 80 mille participants déjà inscrits, le gouvernement brésilien a investi 47,28 millions d’euros dans l’organisation de la manifestation. Selon les organisateurs du forum, les dépenses de cette année contribueront à remédier à une série de défaillances dans le service public de Belém, l’une des capitales brésiliennes qui possède l’un des pires réseaux d'assainissement du pays, ainsi qu’un taux élevé de violence et de problèmes de circulation urbaine. Source : Folha de S.Paulo
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