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Brasilidade - notícias com um toque brasileiro

6 mars 2011

Média : nouvelle télévision brésilienne est diffusée dans 49 pays africains

Le Brésil a inauguré en 2010 une station de télévision internationale basée dans la capitale du Mozambique, Maputo. TV Brazil International permettra la diffusion de programmes en portugais dans les pays africains. La chaîne télévisée devrait, dans un premier temps, être diffusée dans 49 pays africains. Elle s’étendra par la suite à l’Amérique Latine et à l’Amérique du Nord.

TV Brazil International diffusera des programmes de sa grande sœur, la télévision brésilienne nationale TV Brazil (chaîne publique d’information générale créée en 2007, diffusée au Brésil), ainsi que des suppléments culturels et musicaux en portugais dans 49 nations africaines. La station envisage notamment de toucher les quelques 3 millions de Brésiliens expatriés dans le monde.

Un moyen de resserrer les liens avec le continent africain

La chaîne dont la cible principale concerne les pays africains lusophones ( le Mozambique, l’Angola, le Cap Vert, la Guinée Bissau, la Guinée Equatoriale et São Tome et Principe), a également pour mission « d’enrichir la communication entre le Brésil et l’Afrique », selon le président du Mozambique Armando Emilio Guebuza.

Cet intérêt du Brésil pour l’Afrique n’est pas récent. De nombreuses compagnies brésiliennes exploitent déjà les ressources minières du continent.

Pour en savoir + : www.tvbrasil.org.br

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5 mars 2011

Énergie: production d'énergie éolienne génère déjà des bénéfices au Brésil

Les appels d’offre de 2009 et de 2010 ont contribué à consolider le secteur au Brésil, en attirant nombreux fabricants d'équipements et en créant des emplois. La tendance pour les années à venir reste positive.

Les éoliennes ont apporté une nouvelle vague d'investissements dans le pays et le marché de l'énergie éolienne a désormais le vent en poupe au Brésil avec des milliers de dollars des bénéfices par an.

Les appels d’offre réalisés en 2009 ont permis la production de 1.800 MW et ceux de 2010, 2.050 MW. Pour 2011, selon les prévisions de l’Association brésilienne d’énergie éolienne, plus de 2 mille MW pourront être  produits. « Pour chaque MW produit, 13 emplois sont créés. Cela signifie que, si 4 mille MW sont produits d’ici 2013, le secteur peut créer environ 50 mille emplois », comme explique l’ABEE.

« Le Brésil a démarré un peu en retard dans ce domaine par rapport aux autres nations, mais il est en train de se rattraper rapidement », a déclaré Telmo Magadan, président de la compagnie Ventos do Sul, qui possède le plus grand parc de production d'énergie éolienne en Amérique latine, situé à Osorio (RS), avec 150 MW. Le groupe a doublé sa capacité avec les appels d’offre de 2009 et 2010, en rajoutant 100 MW à Osório et 50 MW à Palmares (PE). Les investissements atteindront 800 millions d’euros, les travaux devraient commencer cet automne et le démarrage est prévu pour juillet 2012.

Le Brésil devrait produire entre 8% et 10% d’énergie éolienne d’ici à fin de la décennie. D’après les estimations de l’ABEE, le pays pourra atteindre fin 2011, 1,4 mille MW de puissance installée, 3,2 mille MW en 2012 et 5,25 mille MW en 2013.

Source : Valor Econômico

28 février 2011

Alimentation : Brésil souhaite proposer à l’ONU son expérience dans le combat contre la faim

L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, la FAO, dirige les actions internationales visant à éradiquer la faim dans le monde. José Graziano peut être le premier Brésilien à prendre la direction de l'entité. Nommé à ce poste par l'ancien président Lula da Silva, Graziano a permis la mise en place des programmes Fome Zero1 et Bolsa Familia2.

Le Brésil est devenu ces dernières années, une référence dans la lutte contre la faim, pendant le gouvernement Lula, et cette expérience peut être mis en œuvre par la FAO dans d'autres pays. Explications du directeur adjoint et représentant régional pour l'Amérique latine et les Caraïbes José Graziano da Silva.

Le visage de la faim: la faim a de nombreux visages. Au Brésil, par exemple, les gens meurent de faim dans l'Amazonie, au bord de la rivière, parce qu'ils ne peuvent pas pêcher, et dans le nord-est, parce qu'ils n'ont pas accès à l'eau. Il n'y a pas une formule ou une recette unique pour éradiquer la faim, comme le pensent certaines organisations internationales. J’aimerais que la FAO se rapproche plus des pays et qu’elle décentralise plus ses activités.

Le succès du programme Fome Zero: s'explique parce qu’il n’a pas réinventé la roue. Il ne s’agit pas de quelque chose qui nécessite d’une grande technologie, mais de mettre fin à la faim. Il s’agit de mieux profiter des produits disponibles, de construire des potagers, des citernes pour capter l'eau de pluie, de soutenir les fermes familiales - qui sont les principaux producteurs de denrées alimentaires. La sécurité alimentaire est réussie à l'endroit où les gens y vivent. Cela est la base du programme Fome Zero.

Personne ne sort de la misère tout seul: il faut un grand effort d'organisation et de participation sociale. Fome Zero est un programme qui a réuni la société civile, les organisations sociales, les églises, les clubs de football et le secteur privé. La coordination gouvernementale est aussi très importante à différents niveaux. Réussir les connexions entre les différents acteurs est une partie du secret du succès du programme.

Les causes de la faim en Amérique latine: trois raisons fondamentales provoquent la faim. La première est l'absence totale de cadre institutionnel en ce qui concerne la sécurité alimentaire. La deuxième est le manque de ressources pour les questions sociales. La troisième est que les pays avaient abandonné l'agriculture. Comme de nombreux pays, les nations les plus pauvres ont préféré importer de la nourriture en période de bas prix. Lorsque la roue a tourné, les pays les plus pauvres ont découvert que les grands supermarchés de produits n'existaient pas réellement et que les pays les plus puissants retenaient les produits et évitaient d’exporter pendant les périodes de crise. Le bon côté dans tout cela est que les nations les plus pauvres ont commencé à valoriser leurs produits traditionnels.

Combien ça coûte : le Brésil dépense aujourd'hui avec le programme Fome Zero 0,4% de son PIB. Cela a permis à plus de 30 millions de personnes de sortir de l'extrême pauvreté et d'assurer trois repas par jour en six ans, pratiquement. Ces chiffres montrent que la nourriture est quelque chose de pas très chère si elle est achetée localement. Ce qui rend la nourriture extrêmement chère est le coût du transport et le processus de conservation des aliments. Il ne faut pas perdre de vue la pérennisation des programmes à moyen et à long terme. Nous ne pouvons pas traiter la question de la faim dans l'urgence.

Sécurité alimentaire: tout le monde connaît le montant des stocks alimentaires, sait où ils se trouvent et de combien les prix ont augmenté. Nos projections montrent que d'ici  2020 les prix seront très élevés et volatils. Pour trois raisons essentielles: une demande croissante des pays en développement, les pauvres mangent plus et les stocks sont faibles, ce qui facilite la spéculation.

La sécurité alimentaire est devenue une question aussi importante que la lutte contre le terrorisme, la sécurité et la souveraineté nationales, et désormais elle fait partie des préoccupations centrales des gouvernements. Éradiquer la faim n'est pas une question technique, mais participative. Tous ceux qui savent où sont les pauvres doivent y participer. Il est très difficile de trouver les pauvres, ils sont parfois invisibles, ils n'ont pas de documents. La plupart des pays pensent que combattre la faim est une chose intuitive, qu’en distribuant de la nourriture et de l’argent le problème sera réglé. Mais ce n’est pas le cas.

 

1 et 2 : Faim Zero et Bourse Famille

© Deutsche Welle. Traduction et adaptation : Brasilidade

25 février 2011

Amazonie : Représentants des Indiens se rendent à Paris et à Londres pour dénoncer des barrages destructeurs

Trois représentants indiens d’Amazonie ont entamé une tournée européenne pour protester contre les barrages qui menacent de détruire les terres et la vie de milliers d’Indiens.

Ruth Buendia Mestoquiari, Ashaninka du Pérou, Sheyla Juruna, Juruna du Xingu et Almir Surui, Surui du Brésil, appellent à l’arrêt de la construction de trois barrages en Amazonie – Pakitzapango, Belo Monte et Madeira.

Plusieurs compagnies sont impliquées dans la construction des barrages, dont GDF Suez et Alstom, (France), Voith (Allemagne) et Andritz (Autriche).

Le projet de barrage de Pakitzapango inondera près de 100 000 hectares de forêts et affectera les terres et les ressources de plus de 10 000 Asháninka qui vivent dans la vallée de la rivière Ene, au Pérou.

Les barrages sur la rivière Madeira au Brésil entraîneront une immigration massive dans la région et la déforestation de territoires où plusieurs groupes indigènes, dont des Indiens isolés, vivent et dépendent de la forêt pour leur survie. Tout contact avec des étrangers pourrait s’avérer fatal pour les Indiens isolés, en raison de leur faible système immunitaire.

S’il est construit, le méga-barrage de Belo Monte sur la rivière Xingu deviendra le troisième plus grand barrage au monde. Il dévastera une grande partie des forêts et des stocks de poissons dont dépendent des milliers d’Indiens pour leur survie. 

La délégation sera à Paris aujourd’hui 25 et demain 26 février. Elle donnera une conférence de presse à 19h à la Maison de l’Amérique latine, après avoir rencontré au Sénat Marie-Christine Blandin, sénatrice du Nord-Pas-de-Calais. Demain, les représentants indiens participeront à une manifestation organisée par Survival sur le Parvis des droits de l’homme.

Les délégués indiens se rendront ensuite à Londres où ils rejoindront le 2 mars la seconde manifestation organisée par Survival devant le siège de la Banque publique brésilienne de développement économique et social (BNDES) qui assure une grande partie du financement des barrages.

Pour en savoir + : survivalfrance.org

25 février 2011

Vins : Wines of Brasil amène huit entreprises viticoles brésiliennes au New York Wine

La deuxième participation des vins brésiliens à la New York Wine Expo du 25-27 février à New York, États-Unis, aura la participation de huit établissements vinicoles, soit près du triple de l'an dernier.

Le team Wines of Brasil, qui vise à positionner le vin brésilien sur le marché international, est formé par les producteurs Aurora, Lidio Carraro, Casa Valduga, Miolo et Trading Suriana qui représente les caves Geisse, Sanjo, Santo Emilio et Dom Candido.

Exportation de vins brésiliens a atteint US$ 2,29 millions en 2010

Le résultat est presque égal à celui de 2009 : les exportations ont atteint 2,30 millions de dollars pour le vin brésilien à l'étranger. Pour 2011, l’expectative est une augmentation de 90% dans le chiffre d'affaires des sociétés associées au projet Wines of Brasil, ce qui représente un CA de US$ 4,4 millions.

Selon l’IBRAVIN, les États-Unis est le pays qui importe le plus le vin brésilien. Ensuite, vient l’Allemagne, qui a acheté des vins de 13 entreprises brésiliennes.

Ranking des pays qui ont acheté le vin brésilien en 2010:

1 Angleterre

2 États-Unis

3 Pays-Bas

4 Allemagne

5 Paraguay

6 Colombie

7 Suisse

8 Pologne

9 Japon

10 Danemark

Les importations de vin au Brésil croissent 27% en 2010

Le Chili, l'Argentine, l'Italie, le Portugal dominent le marché du vin au Brésil.

De janvier à décembre l'an dernier, sont entrés dans le pays 75,3 millions de litres de vin étranger, en provenance de 30 pays, comparativement aux 59,2 millions de litres qui sont entrés au Brésil au cours de l’année 2009, originaires de 32 pays.

C'est le plus grand volume de vin déjà importé par le Brésil, dépassant l'ancien record de 60,8 millions de litres en 2007.

Depuis 2004, quand 39 millions de litres de vins étrangers ont été importés, la progression des importations a presque doublé, s'élevant à 93%.

Performance par pays

Chili, Argentine, Italie et Portugal – les pays qui ont le plus exporté de vin au Brésil :

Chili : 26,5 millions de litres

Argentine : 18 millions de litres

Italie : 13 millions de litres

Portugal : 8 millions de litres

Source : Ibravin

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20 février 2011

Espace : le Brésil prépare le lancement inédit d’une fusée spatiale en 2012, mais son utilisation reste incertaine

Le Brésil prépare pour 2012, un exploit sans précédent dans le programme spatial: pour la première fois, sera mis en orbite à partir de son propre sol, une fusée avec un satellite à bord.

Il s'agit de la fusée Cyclone-4 de fabrication ukrainienne qui sortira l'année prochaine de la base d'Alcântara (MA) dans un partenariat qui a commencé à être orchestré en 2003. En vertu de l'accord, le Brésil entre avec la base, et l'Ukraine, avec la technologie spatiale.

Pour Carlos Ganem, président de l'Agence spatiale brésilienne (AEB), le programme avec l'Ukraine « inaugure une nouvelle ère » pour le Brésil et permettra au pays de profiter de son avantage géographique. Comme Alcantara est proche de l'équateur, les lancements faits depuis cette base permettent une utilisation plus efficace de la rotation de la Terre, ce qui représente une économie de carburant de 30%.

En plus d'être utilisés dans les télécommunications, les satellites sont souvent utilisés pour recueillir des informations sur les conditions météo, navigation, l’utilisation des terres et la surveillance de la région amazonienne. «Les satellites sont essentiels pour l’autonomie brésilienne », a dit Ganem, en rajoutant que le pays souhaite passer d’autres partenariats avec l'Argentine et l'Afrique du Sud pour le lancement des fusées depuis la base d’Alcantara.

Fernando Catalano, professeur d'ingénierie aéronautique de l’université de São Carlos, déclare que le « développement de la base de lancement  d'Alcantara est important », mais estime « qu'il est peu probable que le lanceur apportera des bénéfices à court terme pour le Brésil ou l'élimination de la dépendance du pays pour les lancements de satellites ».

Préparatifs

Du côté brésilien, l'ACS affirme qu'elle s’occupe de la partie structurelle de la base du lancement d'Alcantara.

Du côté ukrainien, 16 entreprises aident à construire la fusée, dans la ville de Dnipropetrovsk (lest du pays). Selon les concepteurs, cette version du Cyclone aura une grande précision et une augmentation de 30% de la capacité de charge de carburant (qui arrivera en provenance de Chine, par bateau). Cette fusée aura une vie utile de 15 à 20 ans.

Impasse avec la communauté des quilombolas

La base d’Alcantara, dans le nord du Maranhão, a un autre défi à relever en plus de faire un lancement réussi de la fusée Cyclone-4 : le gouvernement envisage d'élargir la base et se heurte à la résistance de la communauté de 2.000 quilombolas1 qui vivent dans la région.

Selon Sérvulo Borges, représentant du Mouvement des quilombolas, « l'affaire est en cours de discussion dans une commission de conciliation ». S'il est approuvé, le plan d'expansion pourrait doubler la taille de la base, qui compte actuellement environ 8.500 hectares.

Borges a déclaré que son mouvement « n’accepte pas l’intrusion dans les domaines des anciens esclaves ». D’après lui, les quilombolas sont actuellement exploités dans des emplois sous qualifiés proposés par les dirigeants de la base d’Alcantara. « Le projet n’apporte pas des bénéfices pour la communauté locale, il n’y a pas d’investissements dans l’éducation ni dans l’amélioration de la qualité de la vie », déclare le représentant.

 

1Quilombolas  est le nom commun des esclaves réfugiés dans les quilombos (petits villages), ou des descendants des esclaves noirs fugitifs. Plus de deux mille communautés quilombolas existent sur le territoire brésilien.

 

16 février 2011

Éthanol: nouvelle société anglo-brésilienne Raizen veut conquérir le marché américain

La nouvelle société aura le soutien de Shell pour gagner des nouveaux acheteurs pour le marché de l'éthanol brésilien dans la distribution de carburant des États-Unis.

La société Raizen - résultat de la joint-venture entre Shell et Cosan - aura la tâche de consolider un projet pour lequel la Cosan a bataillé ces dernières années: s’implanter dans le marché américain. En raison des barrières commerciales imposées par les autorités locales, la société présidée par Rubens Ometto a cherché, en collaboration avec l'Union des industries de canne à sucre (UNICA), des nouveaux moyens d'accroître les exportations d'éthanol vers les États-Unis - en 2010, 16% des exportations du secteur étaient destinées au pays, à savoir 248 000 tonnes, ce qui a représenté un chiffre d'affaires de 186 millions de dollars.

14 février 2011

Économie: l’industrie agro-alimentaire brésilienne exporte plus 5 milliards de dollars en janvier

Les exportations agro-alimentaires brésiliennes ont atteint 5,1 milliards de dollars en janvier, 26,3% de plus qu’en janvier 2010.

Selon le ministère de l'Agriculture, le solde de la balance commerciale [les exportations moins les importations] du secteur est de 3,9 milliards de dollars près de 800 millions de plus qu'en janvier de l'année dernière.

Les produits les plus exportés ont été : soja, café, viande, céréales, farines et préparations, jus de fruits et produits forestiers.

Profitant des bonnes cotations internationales, le soja, l’huile, la farine et les céréales, ont été les produits les plus exportés en janvier, ce qui représente un total de 598,6 millions de dollars sur la balance commerciale brésilienne.

Le ministère de l'Agriculture a déclaré que les principaux acheteurs brésiliens sont la Chine, qui a presque doublé les achats de nourriture en provenance du Brésil (jusqu'à 94,3%), l'Algérie (126,7%), le Maroc (108%), l’Espagne (84,3%), l'Egypte (83 6%), la France (46,5%), la Russie (44,9%), l’Italie (42,2%) et la Belgique (40,9%).

Les exportations du secteur vers la Chine, principal partenaire commercial du Brésil, est passé de 8,8 milliards de dollars à 11,1 milliards de dollars au cours des 12 derniers mois, une augmentation de 25,5%. La participation du pays asiatique dans les importations brésiliennes est de 14%.

 

14 février 2011

Exportation : Démission de Moubarak devrait favoriser la reprise des exportations de boeuf brésilien

Avec la démission du président égyptien, Hosni Moubarak, au pouvoir depuis 30 ans, le commerce bilatéral entre l'Égypte et le Brésil devrait reprendre son cours, ce qui devrait permettre la reprise des expéditions de viandes de bœuf vers le marché égyptien.

L'année dernière, les exportations brésiliennes vers l'Égypte ont totalisé 1.967 milliards de dollars et les importations,169 millions de dollars. Ce qui représente un excédent pour le Brésil de 1.799 milliards de dollars.

 

8 février 2011

Énergie : Brésil négocie la vente de l’urane enrichi avec trois pays : Chine, Corée du Sud et France

Selon le journal O Estado de S. Paulo, les négociations avec les trois acheteurs potentiels (Chine, Corée du Sud et France) de l’urane enrichi brésilien avaient démarré à la fin du gouvernement de l’ex-président Lula da Silva. Les négociations sont toujours en cours et l’objectif du Brésil est d’exporter l’urane à de fins pacifiques. Les exportations de l’urane brésilien pourraient représenter un chiffre d’affaires d’1,5 milliard de dollars au pays.

Parmi les clients potentiels, la Chine qui a mis en route la construction d’une trentaine usines nucléaires et la France, pays qui est l’un des plus grands producteurs d’urane au monde et partenaire du Brésil pour la construction de l’usine Angra 3.

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