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Brasilidade - notícias com um toque brasileiro
bresil
24 novembre 2017

9è Festival international de Bossa Nova: projection du film Samba & Jazz

L’ambassade du Brésil en France et l’association JazzoNotes convient à la projection du film Samba & Jazz en présence du réalisateur Jefferson Melo.

Le documentaire Samba & Jazz met en évidence la synergie existant entre la samba et le jazz, et entre les villes de Rio de Janeiro et de la Nouvelle Orléans – située dans l’état de la Louisiane, au sud des États-Unis -, considérée comme étant le berceau du jazz. 

Le film montre la similarité entre ces deux villes du point de vue musical et comportemental, depuis la perspective de ceux qui maîtrisent le sujet: les « sambistes » et les « jazzmen ». 

Par le biais de témoignages, de fêtes populaires et de situations inusitées, il dépeint la manifestation artistique authentique de peuples distants, portés toutefois par un sentiment commun: la passion pour la musique. 

Le mardi 12 décembre 2017 à 18h à l’ambassade du Brésil (salle Villa-Lobos)
34, cours Albert 1er - 75008 Paris

Inscriptions en ligne, dans la limite des places disponibles :
http://festivalbossanova.com/fr/programme/#100

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8 novembre 2017

Abstraction tropicale : Couleurs et concepts de la peintre brésilienne Beatriz Milhazes chez Taschen

Aussi expressive que le langage visuel unique de l’artiste, cette monographie présente le travail de Beatriz Milhazes, peintre brésilienne qui mélange l’abstraction moderniste aux couleurs et aux lumières de son pays natal. À travers plus de 280 œuvres, un long entretien et un dictionnaire poétique de ses motifs clés, l’ouvrage explore les différentes périodes de son travail dans toute leur splendeur et leur signification.

Dans ses œuvres vibrantes, l’artiste peintre brésilienne Beatriz Milhazes fusionne deux manières très différentes de regarder le monde. Ses compositions abstraites, qui s’inscrivent dans la lignée des maîtres modernistes, de Henri Matisse à Bridget Riley, sont imprégnées des couleurs et lumières de son pays natal.

Ses toiles regorgent de symboles évoquant la vie quotidienne au Brésil: le carnaval, les arts traditionnels et des motifs triviaux qui renvoient tantôt au baroque, tantôt au pop, et se rencontrent dans une exubérante chorégraphie visuelle. Ces couleurs vives et rythmées exhalent un charme exotique irrésistible, mais à l’instar de l’œuvre de Paul Gauguin, le paradis est perdu: les promesses combinées de la vie sous les tropiques et de l’abstraction moderniste révèlent aussi une facette plus sombre, teintée de mélancolie.

Pour parvenir à cet équilibre, Milhazes a développé, à la fin des années 1980, une technique particulière qui consiste à peindre les motifs sur des feuilles de plastique qu’elle colle, une fois sèches, sur une toile. Ce procédé permet à l’artiste de superposer les couches et de créer un effet d’oscillation entre éclat joyeux et lumineuse tristesse.

Depuis sa percée, au début des années 1990, Milhazes a étendu sa pratique à d’autres disciplines pour créer sérigraphies, collages d’emballages de chocolats et de bonbons, sculptures composées de mobiles géants où pendent des colifichets de carnaval, projets in situ qui transforment des façades d’immeubles en vitraux.

Cette monographie de Beatriz Milhazes présente plus de 280 œuvres réalisées à diverses époques et avec différentes techniques. Les pages de transition entre les chapitres ont été créées spécifiquement pour ce livre, à partir de collages peints, composés de différents fragments de papiers et d’objets trouvés par l’artiste. Les images sont complétées par un entretien avec l’éditeur Hans Werner Holzwarth, dans lequel Beatriz Milhazes explique sa manière de travailler et révèle les idées et l’arrière-plan culturel qui sous-tendent son œuvre.

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Édition collector limitée à 1.000 exemplaires signés et numérotés (no 101 à 1.100)
Prix : 750 euros

8 novembre 2017

Photographies : Exposition Images voyageuses, photographies brésiliennes en France

Jusqu’au 14 novembre

Au Brésil, en dehors de quelques expériences éphémères, ce n’est qu’en 1923 qu’un collectif de photographes amateurs propose un vrai projet de diffusion d’art photographique. Le « Photo Club Brasileiro » basé à Rio de Janeiro, publie la revue
« Photogramma » entre 1926 et 1931, organise des expositions ainsi que le premier salon national en 1940.
À São Paulo, le «Foto Cine Clube Bandeirante », créé en 1939, propose dès 1942 le « Salão Paulista » et des expositions internationales à partir de 1946, s’affirmant rapidement comme la référence de la photographie artistique brésilienne, notamment grâce à la diffusion de son « Boletim ».
La Société française de photographie (SFP) organise le Salon international d’art photographique depuis le début du XXe siècle. L’édition de 1946 coïncide avec la première contribution des photographes brésiliens.
Les images présentées à la Fondation Calouste Gulbenkian correspondent à une partie des 52 photographies envoyées par les photographes de São Paulo à l’appel de la SFP. Vingt-et-une d’entre-elles furent présentées lors du 39e Salon international de 1951. Ce circuit d’échange international s’est figé et ces fonds sont devenus partie intégrante des collections de la SFP. Qu’elles aient été admises ou refusées, ces œuvres contiennent des éléments indispensables à la compréhension des accomplissements, des échecs et des limites de l’une de plus importantes générations d’artistes photographes du Brésil.

Fondation Calouste Gulbenkian - Paris

8 novembre 2017

Littérature : Lancement du livre Les Arts primitifs et populaires du Brésil de Benjamin Péret

Rencontre avec Jérôme Duwa, historien de l’art et spécialiste des avant-gardes, et Leonor Lourenço de Abreu, auteure d’un grand nombre d’ouvrages sur le surréalisme, pour le lancement du livre Les Arts primitifs et populaires du Brésil, de Benjamin Péret, aux Éditions du Sandre.

Le 08/11 à 19h Librairie des Éditeurs associés

11 rue de Médicis 75006 Paris

Pour en savoir + : www.lesediteursassocies.com

SLIDE - peret

 

23 octobre 2017

Littérature brésilienne : La Révolution au Mirandão de Fernando Molica

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Dans une favela fictive de Rio de Janeiro gouvernée par le trafic de drogues, l’organisation d’extrême-gauche Connexion Révolutionnaire s’implante peu à peu. La guérilla a décidé d’exploiter la situation sociale explosive des favelas, et d’utiliser les armes lourdes des narcotrafiquants. Objectif : déclencher au Brésil la révolution socialiste.

Cette curieuse union entre trafiquants, jeunes guérilleros de classe moyenne et leaders communautaires pose en filigrane la question : le mal peut-il être utilisé pour combattre un mal supérieur ? Après tout, l’argent des narcotrafiquants n’est pas plus sale que celui des oppresseurs…

A propos de l'auteur : Journaliste de formation, Fernando Molica a travaillé pour les plus grands médias brésiliens et a reçu divers prix au cours de sa carrière. 

En tant qu’écrivain, Fernando Molica est l’auteur de six romans et a participé à diverses anthologies au Brésil. Il fera partie du collectif Je suis encore favela, à paraître au printemps 2018. Il a été deux fois nommé pour le Prix Jabuti, équivalent du Prix Goncourt. 

ana

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19 octobre 2017

Brésil : Lucia Koch à la 1ère Biennale d’Architecture d’Orléans

Jusqu'au 01/04/2018

Née à Porto Alegre en 1966, l’artiste Lucia Koch se sert d’interventions, d’installations, de vidéos et de photos pour explorer les moyens d’opérer le changement dans l’expérience que nous faisons de l’environnement.

Que ce soit en recouvrant des façades, des vélux et des fenêtres de matériaux translucides, ou en créant des couches successives entre le dehors et le dedans, Koch cherche à créer des états altérés de l’espace, où l’invisibilité et l’interruption court-circuitent la perception.

Les Turbulences - Frac Centre 88 Orléans

www.frac-centre.fr  

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Crédit photo: Lucia Koch

19 octobre 2017

Brésil : Exposition «Lina Bo Bardi - enseignements partagés » à l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Paris-Belleville

Du 26/10 au 10/02/2018

Trois ans après le centième anniversaire de la naissance de Lina Bo Bardi, rare figure féminine du monde architectural du XXe siècle, l’École nationale supérieure d’architecture de Paris-Belleville et le département d’architecture et de projet de l’Université Sapienza de Rome (DiAP Sapienza) s’associent pour une nouvelle lecture à travers l’exposition “Lina Bo Bardi - Enseignements partagés” à l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Paris-Belleville.

www.paris-belleville.archi.fr

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Lina Bo Bardi

19 octobre 2017

Brésil : le Brésil à la FIAC 2017

Jusqu'au 22 octobre

Palais d’Iéna, 9 place d'Iéna, 75016 Paris

La FIAC accueille pour dix jours une exposition de l’artiste brésilien Artur Lescher. Présentées pour la première fois en France, les œuvres proviennent de collections brésiliennes ou sont réalisées in-situ pour l’événement. Elles proposent un dialogue inédit avec le classicisme moderne des espaces monumentaux conçus par l’architecte Auguste Perret.

Né en 1962 à São Paulo où il vit et travaille, l’artiste bénéficie d’une reconnaissance considérable outre-Atlantique depuis les années 1980, notamment pour son inscription dans la lignée du néo-concrétisme, courant majeur de l’art abstrait nourri par le cognitivisme et la phénoménologie de la perception.

L’œuvre sculpturale d’Artur Lescher est intrinsèquement liée à l’espace architectural. Aussi épurées que finement ouvragées, ses réalisations ont ainsi pour qualité principale de produire un véritable champ de force, de nature magnétique, pourrait-on dire en regard des métaux employés (cuivre, laiton, etc.), mais aussi et surtout de nature perceptive. En effet, elles visent à connecter et à articuler entre eux les divers espaces et matériaux qui constituent l’édifice (...).

www.fiac.com

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Crédit photo: Artur Lescher

 

15 octobre 2017

Biennale de Lyon 2017 : quatre artistes brésiliens ont été sélectionnés

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Jusqu'au 7 janvier 2018

La Biennale de Lyon est un événement incontournable dans le monde des arts plastiques. En soutenant des créations inédites et en diffusant des expositions d’œuvres emblématiques de l’art contemporain, d’artistes et de professionnels internationaux, la Biennale vise à contribuer à la formation artistique du public et à renforcer l’influence française à l’étranger.

Les Brésiliens Cildo Meireles, Ernesto Neto, Rivane Neuenschwander et Lygia Pape ont été sélectionnés pour cette édition. Artistes reconnus internationalement, ils permettront au public d’aborder la culture, l’identité et la diversité brésiliennes à travers leurs œuvres.

Pour en savoir + : www.labiennaledelyon.com 

30 septembre 2017

Ambassade du Brésil: projection de l'opéra Olga de Jorge Antunes

L’ambassade du Brésil en France convie à la projection de l'opéra OLGA de Jorge Antunes le mardi 10 octobre de 17 à 20 heures à l'Ambassade du Brésil au 34 cours Albert 1er à Paris.
Opéra en 3 actes, sous-titré en français. Durée 150 minutes.

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