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Brasilidade - notícias com um toque brasileiro

16 avril 2013

Le Brésil Rive Gauche : Le Bon Marché fête les couleurs et les saveurs brésiliennes à Paris

Jusqu’au 22 juin

Le Bon Marché promeut jusqu’au 22 juin l’événement Le Brésil Rive Gauche, qui présentera le meilleur de la mode, de la culinaire et de l’art brésilien. Près de 120 marques nationales seront présentes dans les couloirs du Bon Marché.

Clube Bossa, Egrey, Giuliana Romano, Lenny Niemeyer, Maria Bonita Extra, Pedro Lourenço, UMA et Salinas sont quelques-unes des griffes qui montreront leur collection été 2014.  

En plus des neufs griffes citées ci-dessus, cinq autres boutiques pop-up présenteront leurs produits : l’univers coloré d’Adriana Barra, les lignes beauté de Phoebo et Granado, les célèbres sandales Melissa, la collection masculine Osklen et les articles de Lá da Venda.

L’événement propose aussi un brin de gastronomie brésilienne. Les produits d’une trentaine de marques seront en vente à la Grande Épicerie de Paris.

Pour compléter la programmation made in Brazil, trois installations artistiques. Le brésilien Pedro Varela a réalisé les vitrines de la Rue de Sèvres ; le photographe français Vincent Fournier présente une série d’images sur Brasilia et le vidéaste Bertrand Planes a crée une vidéo installation avec 38 écrans qui afficheront des images sélectionnées à partir des archives de la Rede Globo.

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15 avril 2013

Littérature : Passager de la fin du jour, un portrait sensible des banlieues brésiliennes

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Parution le 23 avril  

Books Éditions

Passager de la fin du jour du brésilien Rubens Figueiredo, deux fois lauréat du Prix Jabuti (équivalent du Goncourt).

Loin de l'image moderne du pays organisateur des JO, Rubens Figueiredo dresse dans son livre un portrait sensible des banlieues brésiliennes, pauvres, révoltées et craintes par les citadins. Le temps d’un voyage, alors que des rumeurs d’émeutes attisent les tensions et font dévier le bus de son trajet initial, son héros, Pedro, nous fait découvrir par le biais de ses souvenirs ce visage méconnu du Brésil.

‘Pedro tient une petite librairie de quartier dans le centre-ville d’une métropole brésilienne. Comme chaque week-end depuis six mois, pour retrouver Rosane, sa fiancée, il se rend en bus au quartier du Tirol, une banlieue délabrée à 40 kilomètres de la ville. Le temps d’un voyage, alors que des rumeurs d’émeute attisent les tensions et font dévier le bus de son trajet initial, Pedro, dont les pensées vagabondent, nous livre un portrait sensible d’un Brésil méconnu.

Grâce à Rosane, il découvre un monde caché, une vie d’expédients, une violence sociale. Nous déchiffrons avec lui les tatouages des passagers, explorons leurs infirmités. Et nous tissons le fil de son histoire : l’accident qui lui a permis d’ouvrir sa librairie ; la rencontre avec Rosane et son quartier, tombé dans la misère alors même que le Brésil prospère ; l’émeute au cours de laquelle il s’est fait broyer la cheville. Trouvé lors de l’émeute, un livre bon marché sur le passage de Darwin dans son pays, qu’il lit par intermittence : la brutalité du monde animal et celle du monde humain se répondent.

Quand Pedro commence le récit de Darwin, alors que les passagers du bus sont encore hébétés par leur semaine de labeur, le savant observe une guêpe qui tue sans pitié une pauvre araignée. À la fin du récit, alors que la révolte gronde au dehors, l’araignée prend sa revanche et emprisonne la guêpe au centre de sa toile. Peut-être une forme d’avertissement. Les marges peuvent prendre leur revanche sur le centre, les banlieues sur la cité : l’injustice n’est pas une fatalité.’

 

Rubens Figueiredo © Bel Pedrosa

L’auteur : Né en 1956 à Rio, Rubens Figueiredo a été deux fois lauréat du prix Jabuti, l’équivalent brésilien du Goncourt, et a remporté en 2011 le prix de la ville de São Paulo ainsi que le prix Portugal Telecom.

15 avril 2013

Festival du Cinéma Brésilien de Paris 2013, un tour du Brésil riche en images

Du 16 au 23 avril

Cette année, le festival présente une sélection de 27 films et rend hommage à Carlos Diegues, un des co-fondateurs du Cinema Novo et un réalisateur reconnu à travers le monde. En plus des projections, une exposition photographique réalisée par Marc Ferrez sur la ville de Rio  à la fin du XIXe se déroulera au Cloître des Billettes.

Au programme :

Raphael Aguinaga - réalisateur Juan et la ballerine (20-22 avril)


Sergio Andrade - réalisateur La Forêt de Jonathas (21- 23 avril)


Guilherme Azevedo - réalisateur Les Histoires d'Arcanjo (16-24 avril)

Maria de Medeiros - réalisatrice Les Yeux de Bacuri (20-23 avril)


Carlos Diegues - Hommage (du 16 au 21 avril)


Emilio Gallo - producteur Les Histoires d'Arcanjo (16-24 avril)


Renata Magalhaes - productrice Carlos Diegues (16-21 avril)


Kleber Mendonça Filho - réalisateur Les Bruits du voisinage(19-21 avril)

Cesar Oiticica Filho - réalisateur Hélio Oiticica (19-24 avril)


Bruno Quintella - scénariste Les Histoires d'Arcanjo (16-24 avril)


Juliana Reis - réalisatriceShooting (17-19 avril)


Breno Silveira - réalisateurGonzaga – De père en fils (15-17 avril)

Et pour la soirée de clôture : Projection des films Viramundo un voyage musical avec Gilberto Gil et Hélio Oiticica (qui a reçu deux prix au festival de Berlin 2013).

Pour en savoir + : www.jangada.org

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15 avril 2013

Photographie : PORTRAIT DU JOUR de Marcus Brandão

Du 17 avril au 17 mai

Projet photographique réalisé par le brésilien Marcus Brandão qui a photographié un visage par jour depuis un an.

Maison d’Eglise Notre Dame de Pentecôte 


1, place de La Défense, parvis de La Défense
92800 Puteaux


www.marcusbrandao.fr

11 avril 2013

Exposition photographique de Gustavo Speridião parle des sentiments cachés

Du 17.04 au 16.06

MAISON EUROPÉENNE DE LA PHOTOGRAPHIE

GUSTAVO SPERIDIÃO

GÉOMÉTRIE. MONTAGE. EQUILIBRAGE. PHOTOS ET VIDÉOS

Images de l’histoire. Histoire des images. Pour l'artiste brésilien Gustavo Speridião, ces deux mots n’en font qu’un. Bien sûr, tout appartient soit au domaine des images, soit à l’histoire. On sait encore que l’une est toujours le produit (ou l’invention) de l’autre. Mais pour Speridião il se pose au cœur de cette relation une autre question, à savoir, ce que nous faisons d’elles. Par un procédé d’“assemblage” et de remise en scène des images, Speridião crée des fictions réelles de la vie post-moderne et nous place face à cette grande archive globale qu’est le monde.

Ses images captées et mêlées dans un processus d’édition inspiré du kinoglaz des avant-gardes russes font le portrait de ce monde où partout se mêlent le désir, le vertige, la frustration, l’enthousiasme, en un mot, tous nos sentiments cachés.

 

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10 avril 2013

Économie : Brésil et Belgique étudient un partenariat dans le domaine portuaire

Le ministre des Relations extérieures du Brésil, Antonio Patriota, a rencontré le 1er avril le ministre des Négoces étrangers de la Belgique, Didier Reynders.

L’expérience belge dans le secteur portuaire et de l’énergie aidera le Brésil à se développer dans les deux domaines. « Le partenariat entre Brésil et la Belgique s’élève déjà à US$ 6 milliards et cette réunion a permis d’intensifier nos relations commerciales », a déclaré le ministre brésilien. « Pendant la réunion, nous avons étudié un futur partenariat dans le domaine portuaire car la Belgique possède le deuxième plus grand port de l’Europe et est entre les cinq plus grands du monde ».

D’après de ministre brésilien, le partenariat s’étendra aux secteurs liés à la logistique et à l’infrastructure, mais aussi à de projets liés à la recherche nucléaire et à l’énergie renouvelable.

10 avril 2013

Festival du Cinéma Brésilien de Paris
célèbre son 15e anniversaire

Au cinéma L’Arlequin

Du 16 au 23 avril

Le Festival du Cinéma Brésilien de Paris présente chaque année une sélection des meilleures productions du cinéma brésilien, révélant les dernières sorties en fiction et documentaire, parfois même en avant-première mondiale au Festival.

En ouverture du festival cette année, la vie du musicien Luiz Gonzaga, le Roi du Baião, avec le film « Gonzaga, de père en fils » qui a enregistré plus d’un million d’entrées en 3 semaines au Brésil.

Pour cette 15e édition, le festival rendra hommage à Carlos Diegues et présentera 10 de ses films, en sa présence. Carlos Diegues est aujourd’hui l’un des cinéastes brésiliens les plus connus dans le monde. Il est le précurseur du cinéma novo, le producteur qui a modernisé le cinéma brésilien et un réalisateur socialement engagé.

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8 avril 2013

Politique & religion : la force du groupuscule évangélique au coeur du congrès brésilien

Le recensement réalisé en 2010 par l’IBGE* a démontré que, pour la première fois, le nombre total de catholiques brésiliens avait baissé et que le nombre d’évangéliques avait considérablement avancé. Une aubaine pour les parlementaires évangéliques qui n’auront plus de mal à exercer leur influence politique sur les fidèles de l’Église évangélique et à maintenir leur place à l’intérieur du congrès national brésilien.

À Brasilia, l'action du groupe de parlementaires évangéliques (14,2% des députés et 5% des sénateurs), bien qu'appartenant à plusieurs partis politiques différents, s’articule principalement dans la défense de leurs propres dogmes religieux. Les évangéliques ont plutôt tendance à être contre qu’à faveur : contre la légalisation de l'avortement, contre le mariage homosexuel, contre l'euthanasie et la libération des médicaments. Néanmoins, ils sont toujours favorables à une large liberté religieuse.

‘La présence des évangéliques dans le congrès national brésilien est le résultat d’une réalité démographique : la croissance rapide des religions évangéliques, notamment des pentecôtistes, aura comme résultat la consolidation de la présence des pasteurs protestants au pouvoir’, explique un professeur de sciences politiques de l’université PUC-Rio.

Qui sont-ils ?

Le Front parlementaire évangélique a été crée en 2003. Trois ans après, 23 membres du groupuscule des évangéliques ont été accusés de corruption, blanchiment d’argent et détournement de fonds. Parmi les accusés, dix d’entre eux appartenaient à l’Église Universelle du Royaume de Dieu et neuf à l’Assemblée de Dieu.

Après le scandale, connu sous le nom de Mafia des sangsues, les évangéliques se sont fait un peu oublier et puis ils sont revenus sur le scénario en 2010 avec la rénovation du cadre politique et plusieurs représentants de l’Assemblée de Dieu - qui possède plusieurs ramifications - ont été élus. Mais, on dirait que l’histoire se répète et que le thème de la corruption devient récurrent chez les évangéliques. Parmi les 73 représentants de la Chambre des députés, 23 répondent à des procès auprès du Suprême tribunal fédéral.

Au contraire des évangéliques, les catholiques ne forment pas de front parlementaire. Le groupuscule s’organise de façon informelle. Parmi les députés qui appartiennent à l’Église, les plus actifs sont liés au mouvement de Rénovation charismatique, l’équivalent du mouvement pentecôtiste dans les églises protestantes. Les catholiques ont crée le Front parlementaire de défense de la vie et contre l’avortement. Le groupe compte avec 220 députés et 12 sénateurs.

Population catholique rétrécit au Brésil. Les évangéliques avancent.

Le recensement réalisé en 2010 par l’IBGE* a démontré que, pour la première fois, le nombre total de catholiques brésiliens avait baissé. Le Brésil demeure encore la plus grande nation catholique au monde, mais, pendant les dix dernières années, l’Église a perdu 1,7 million de fidèles, soit 12,2% de fidèles en moins.

Si en 1970 il y avait 91,8% de catholiques au Brésil, en 2010 ils sont 64,6%. Les évangéliques ont passé de 5,2% de la population à 22,2%. L’assemblée de Dieu possède 12 millions de fidèles et l’Église universelle du royaume de Dieu en possède 1,8 million. Le recensement a révélé aussi que les pentecôtistes - avant très présents chez la population pauvre et défavorisée - sont désormais très présents parmi la nouvelle classe moyenne brésilienne.

Sources : *IBGE (Institut brésilien de géographie et statistiques), PUC-Rio, Veja

5 avril 2013

Sebastião Salgado expose les photos du projet Gênesis au Muséum d’Histoire naturelle de Londres

Du 11 avril au 8 septembre

Après huit ans sans réaliser d’exposition, le photographe brésilien Sebastião Salgado sera à l’affiche au Muséum d’Histoire naturelle de Londres. Pendant les huit ans, Sebastião a photographié plusieurs endroits sauvages partout dans le monde, comme l’Artic National Wildlife Refuge dans l’Alaska ; le désert de Kalahari ; la péninsule Valdés en Patagonie ; le fleuve Tekeze en Éthiopie et une tribu indigène au Pará au Brésil.

Cette expédition a aboutie au Projeto Gênesis, où le photographe raconte en images la condition humaine face aux inégalités sociales. Financé par l’Unesco, le Projeto Gênesis a pour objet montrer des paysages naturels qui n’ont pas encore subi l’interférence de l’être humain ainsi que la façon de vivre des tribus qui maintiennent encore aujourd’hui des traditions ancestrales.

En plus de l’exposition, Salgado lance un livre en deux volumes avec les registres du projet qui deviendront le documentaire A Sombra e a Luz (L’ombre et la lumière) ; réalisé par Wim Wenders avec la collaboration du fils du photographe, Juliano Salgado.

L’exposition montrera également les Zo’é, une petite tribu isolée d’Amazonie brésilienne. Si leur territoire reculé est relativement à l’abri des invasions, ils restent extrêmement vulnérables aux maladies transmises par des colons qui empiètent périodiquement sur leurs terres.

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©Sebastião Salgado

4 avril 2013

Mode & cheveux : le meilleur coiffeur de Montpellier

www.cutmybangs.fr

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