Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Brasilidade - notícias com um toque brasileiro
29 septembre 2009

Brazilians like their coffee strong as the devil, hot as hell and sweet as love*

dest_04a_20

It inspires passion, opinion and addiction. It’s the world’s second most valuable commodity (after petroleum), and it will almost certainly play a memorable role in your travels, no matter where you’re headed. We’re talking about coffee, of course, and the best places to partake…

In São Paulo

Brazilians like their coffee strong as the devil, hot as hell and sweet as love. In the morning they take it with milk (café com leite). After that, it’s cafezinhos, regular coffee served in either a glass or an espresso-sized cup. Thanks to its Italian heritage, São Paulo boasts Brazil’s best cafés, with Café Floresta being one of our favourites.

(*) Les Brésiliens aiment leur café fort comme le diable, chaud comme l'enfer et doux comme l'amour.

By Jungle Trips

 

Publicité
Publicité
29 septembre 2009

Coup de projecteur de Brasilidade sur le Forró Bentivi

Mercredi 30 septembre : Super édition du Forró Bentivi au Baloard, à Montpellier.

Avec la présence des Djs du projet NM&DD, made in São Paulo.

Baloard :  21, Boulevard Louis Blanc 34000 Montpellier - 04 67 79 36 68

PAF : 5 euros

Pour en savoir + : www.myspace.com/nmdd

28 septembre 2009

Coup de projecteur de Brasilidade sur le livre Porto da Barra de Marc Dumas

Il ne s’agit pas d’un ouvrage touristique mais d’un travail artistique autour de la thématique de la mer, réalisé à Salvador de Bahia par un photographe et designer français.

Dumas_couverture

Pour en savoir + : www.toutpourplaire.com

 

28 septembre 2009

Brésil : le Cirad et l’Embrapa adaptent leur stratégie commune aux grands défis mondiaux

Les deux établissements ont signé, le 7 septembre 2009, à Brasilia, une nouvelle déclaration stratégique conjointe les engageant pour les six années à venir. Se déclinant autour de quatre grands domaines, ce document représente une base de formation et de création de connaissances et d’innovations au service des grands enjeux mondiaux du développement durable.

La nouvelle stratégie est focalisée sur quatre domaines :



• la biologie avancée, et en particulier la génomique fonctionnelle, au service de l’amélioration des espèces végétales tropicales, subtropicales et méditerranéennes, liant le système national de recherche agronomique brésilien et les organismes français membres d’Agropolis International ;


• le développement durable du biome amazonien, en appui à la mise en œuvre des accords signés le 23 décembre 2008, à Rio, entre les gouvernements français et brésilien ;



• les politiques publiques et le développement territorial durable pour l’agriculture familiale ;



• et la coopération tripartite, tout particulièrement en direction des pays les moins avancés d’Afrique.

Fondement de la coopération franco-brésilienne en matière de recherche agronomique, le partenariat Cirad-Embrapa représente en effet une des plus fortes concentrations mondiales de compétences dans ce domaine. Plus de vingt projets conjoints impliquant des chercheurs basés en France ou au Brésil sont actuellement menés par des équipes de chercheurs issus des deux institutions.

Source : Cirad

25 septembre 2009

Avec le Brésil, l’Amérique Latine fait pression sur le G20 pour la réforme du FMI

Le Brésil, le Mexique et l'Argentine font pression sur le G20 pour parvenir à un compromis pour réformer le FMI. Dans le projet de déclaration finale, les pays du G20 défendent que les riches doivent transférer au moins 5% (le Brésil avait demandé 7%) de leur pouvoir de vote aux pays en développement considérés comme "dynamiques".

Le Brésil serait l’un des grands bénéficiaires de la redistribution des votes au sein du FMI (les quotas déterminent le pouvoir de vote dans l'entité). Avec la Chine, la Russie et l'Inde, des pays qui ont eu une croissance plus élevée que la moyenne mondiale dans la dernière décennie, l’Amérique Latine se bat pour l’augmentation de sa représentation dans l’organisation.

Les pays très représentés sont les petits pays européens comme la Belgique, le Danemark et la Suisse, qui ont plus d'influence au sein du FMI que de droit si l’on prend en compte la taille de leurs économies.

D'autre part, les États-Unis ne perdront pas le pouvoir avec la réforme, puisque ses 17% des voix au FMI est inférieur au pourcentage qui représente son produit PIB dans l'économie mondiale.

Washington a été l'allié le plus important des pays émergents dans la redistribution des pouvoirs au sein du FMI, car son pourcentage des voix (supérieur à 15%) lui donne le droit de veto sur les décisions de grande envergure.

L’Argentine préconise également la réforme du FMI, mais son intérêt principal est l'assouplissement des conditions des emprunts. Le Mexique a déjà bénéficié d'un petit réajustement des voix dans l'organisme et les changements dans les quotas n’est pas sa priorité.

L’Amérique Latine se bat aussi contre les tendances protectionnistes manifestées par les pays riches comme une réponse à la crise.

Source :  Efe 

Publicité
Publicité
23 septembre 2009

Focus sur la création photographique contemporaine au Brésil

Otto Stupakoff (São Paulo,1935 - 2009)
Photographe de mode brésilien, Otto Stupakoff a étudié au Art Center College of Design de Los Angeles au début des années 50, époque où il a travaillé en tant que correspondant photographique du magazine brésilien Revista Manchete.

De retour au Brésil, il a photographié la construction de la ville de Brasília à la demande de l’architecte Oscar Niemeyer. En 1965, il déménage à New York et avant de retourner au Brésil, il vit quelques années à Paris.

Précurseur de la photographie de mode au Brésil,
Otto Stupakoff
a travaillé pour les magazines Harper's Bazaar, Vogue Américaine et EsquireIl a photographié plusieurs personnalités comme Truman Capote l’ex-président nord-américain Richard Nixon, l’actrice Bette Davis, la chanteuse bahianaise Ivete Sangalo parmi d’autres.

Otto Stupakoff
fut l’un des premiers Brésiliens à intégrer le fonds du Musée d’Art Moderne de New York. L'Institut Moreira Sallles vient d'acquérir l'ensemble des 16 mille images d'Otto prises entre 1955 et 2005. Ses oeuvres seront numérisées et cataloguées en respectant ainsi le souhait du photographe.
otto_2 
Mario Cravo Neto (Salvador, 1947 – 2009)
En 1964, à 17 ans, s'installe en Allemagne où son père, le sculpteur Mario Cravo Jr., participe du programme Artistes en résidence à Berlin. C'est  à cette période que Cravo Neto commence ses expériences avec la sculpture et la photographie.

En 1965, il retourne au Brésil et il reçoit le prix de la Biennale des Arts Plastiques de Bahia et, plus tard cette année, Cravo Neto
fera sa première exposition personnelle.

Entre 1968 et 1970, Cravo Neto vit à New York, où il étudie à l'Art Students League, sous la direction de l'artiste Jack Krueger, l'un des pionniers de l'art conceptuel. En 1970, publie sa première photographie à l’étranger dans le catalogue de l'exposition Information du  Musée d’Art Modern de New York. Encore à New York, Cravo Neto produit une série de photographies en couleur intitulée On the Subway, publiées dans la revue Camara 35, et des photographies en noir et blanc que le thème de la solitude humaine dans une grande métropole.

C'est dans son studio de Soho qu’il développe parallèlement à la photographie, les sculptures en acrylique basées dans le processus du "terrarium", sur la croissance des plantes vivantes à l'intérieur.

En 1971, Cravo Neto
a reçu le Prix de la Sculpture du Gouverneur de l'Etat de São Paulo. Entre 1971 et 1974, il se consacre à la création de projets «sur place» (land art) en interférant directement dans la nature de Bahia et dans la zone urbaine de sa ville natale. Son travail est connu pour le dialogue entre la religion, les cultes afro-brésiliens et leur lien étroit avec Bahia. Cravo Neto a publié plusieurs livres, étant le plus récent, Le Tigre du Dahomey: un serpent de Ouidah en 2004.

400px_CP0177_04_29
Luiz Braga (Belém, 1956)
Vit et travaille à Belém. Sa trajectoire commence dans le milieu des années 70, période au cours de laquelle il s’intéresse au langage photographique.
 

Tout au long de sa carrière, Luiz Braga a reçu de nombreux prix. Parmi les plus importants figure  le Leopold Godowsky Jr. Color Photography Award de l'Université de Boston en 1991.

Ses œuvres font partie des collections d’institutions importantes telles le Musée d’Art Moderne de São Paulo et à Rio et le Musée du Quai Branly à Paris. 
En 2009, Luiz Braga a participé de la 53e Exposition Internationale d'Art de la Biennale de Venise avec l’exposition A Estridência da Luz.
luiz_braga_img 
Thiago Rocha Pitta (Tiradentes, MG, 1980)
Vit et travaille à Rio de Janeiro. Commence à montrer ses travaux en 2001, avec des interventions en plein air. Dès le début de son travail
Thiago Pitta cherche une relation intime avec la nature.

C’est aspect est évident dans ses œuvres comme l’Hommage à William Turner, une vidéo d'un petit bateau en train de brûler, ou encore dans le miroir / plate-forme construit sur une falaise où le public est invité à marcher sur la réflexe du ciel. L'artiste a également une large production de peintures et aquarelles dont la recherche se situe entre les états poétiques du langage et ses mutations.

Thiago Rocha Pitta a grandi dans la ville historique de Tiradentes à Minas Gerais et, à l'adolescence, il est parti vivre à Petrópolis, près de Rio de Janeiro.  En 1999, il aménage définitivement à Rio pour étudier l'art à UFRJ. En 2004, Thiago Rocha Pitta a reçu le prix CNI SESI Marcantonio Vilaça. En 2005, il participe de  la 5e Biennale du Mercosul, à Porto Alegre. Depuis, il a exposé ses œuvres dans plusieurs villes partout dans le monde.
images 

 

 

22 septembre 2009

Un appel à l'extermination des 'sauvages' au napalm remporte le prix Survival de l'article le plus raciste de l'année

Le prix de l’"article le plus raciste de l’année" est décerné dans le cadre de la campagne "Racisme dans les médias" que mène Survival contre les propos racistes tenus par les principaux médias du monde à l’égard des peuples indigènes.

Le lauréat est gratifié d'un certificat portant la citation du chef sioux lakota Luther Standing Bear : «Toutes ces années à traiter l’Indien de sauvage n’en ont jamais fait un.»

Pour en savoir + : www.survivalfrance.org

22 septembre 2009

Le Mois du Brésil propose un regard sur l’Amazonie et ses habitants

Pour la première fois en Franche-Comté, un évènement fédérateur sur le thème du Brésil rassemblera de nombreux spécialistes et organisations internationales. La ville de Héricourt organise un Mois du Brésil, du 29 septembre au 24 octobre, qui aura pour thème principal la diversité culturelle brésilienne.

Le Mois du Brésil 2009 proposera un regard sur l’Amazonie et ses habitants et invitera à un voyage riche en couleurs, à la découverte des Indiens et des traditions populaires et ce, à travers une programmation variée : expositions photos et artistiques, rencontres littéraires, conférences projections de films, concerts de percussions et animations de rue raviront petits et grands pendant un mois.
Pour en savoir + : www.moisdubresil.fr
 

21 septembre 2009

L’économie brésilienne pourra croître 5 % en 2010

Le Brésil a déjà sorti du tiroir près de la moitié de ses 100 milliards de dollars de projets d'investissement qui avaient été gelés après la crise de la banque d'investissement Lehman Brothers en septembre 2008.

Sur cette base, l'économie brésilienne pourrait croître de 5% ou plus en 2010. La crise mondiale avait stoppée la croissance des l'investissements à court terme par rapport à 2008. Le taux d'investissement en proportion du PIB du pays a chuté de 15,7% au deuxième trimestre, le plus bas depuis 2003. Il y a eu depuis quelques mois un redressement notable de la confiance des entreprises notamment dans l'énergie, la pétrochimie et les infrastructures.

21 septembre 2009

Le Brésil prend la 10è place dans le ranking d’investissements étrangers

Le Brésil a gravi quatre positions et se trouve à la 10è place parmi les 20 principales destinations d’investissements étrangers en 2008 et il pourrait, en 2011, être à la 4è place.

Le flux d'investissements étrangers reçus par le Brésil l'an dernier était de 45,1 milliards de dollars, contre 34,6 milliards de dollars US en 2007 - une hausse de 30,3%.

Parmi les BRIC, le pays est toujours derrière la Chine (la 3è du classement) et la Russie (5è place). L'Inde est classée 13è. En haut de la liste se trouvent les États-Unis, la France (2è) et le Royaume-Uni (4è).

Publicité
Publicité
1 2 3 > >>
Publicité