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Brasilidade - notícias com um toque brasileiro
musique
3 février 2012

Musique brésilienne : Brasil Connection donne le ton sur la scène montpelliéraine

Deux possibilités pour les amateurs de musique brésilienne d’apprécier le swing du Brasil Connection ce week end à Montpellier :

- ce soir (le 3) chez Félix, près de la Comédie et

- demain soir  (le 4) chez El Caliente, près du Corum

Avec la participation de :

Leonardo lucas - Guitarre & Chant

Guillaume Rodriguez - Percussions

Marcos Borges - Basse

Damien Hilaire - Batterie


Entrée libre

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21 septembre 2011

Musique : Carlinhos Correia interprète-magicien des rythmes d’ici et d’ailleurs

Mixeur de rythmes, Carlinhos Correia, artiste originaire de Maputo nourrit par diverses influences musicales, interprète la chanson brésilienne avec beaucoup de créativité. Sur scène, son énergie est contagieuse. Samba, rock, funk, bossa, en solo ou en duo, le chanteur guitariste nous fait voyager dans le mélange des sons et des cultures.

Brasilidade : Carlinhos, quels sont les moments les plus forts de ta carrière professionnelle ?

Carlinhos Correia : Quand on est musicien, tous les moments sont forts. La période avec le groupe Guaraná Samba, entre 2004-2006, a été géniale. Mais le meilleur moment est celui que je vis actuellement avec le percussionniste brésilien Roberto Sapo. C’est une autre énergie. J’ai trouvé ma place car Roberto et moi on est sur la même longueur d’onde et depuis qu’on joue ensemble, j’ai changé… !!

Brasilidade : C’est vrai et ça se voit. Quelle est l’importance de la musique et du chant dans ta vie ?

CC : Quelle tristesse de ne pas pouvoir chanter ! Chanter, c’est trop bon, ça me rend heureux, c’est magique et ça fait du bien. Je n’arrive pas à imaginer ma vie sans chanter. Quand je chante, c’est comme si j’avais couru le marathon et que j’étais arrivé premier ! C’est une telle montée d’adrénaline !

Brasilidade : Parle-moi de ton parcours en tant qu’interprète « mixeur » de rythmes. Tes choix, tes racines…pourquoi ne pas chanter la chanson française…?

CC : La musique est entrée dans ma vie quand j’étais au collège, à Maputo. À l’époque, on chantait la messe à l’église et comme j’ai toujours aimé chanter, j’étais toujours présent au premier rang. Ensuite, j’ai appris à jouer de la guitare tout seul. Plus tard, je suis parti au Brésil et mon apprentissage s’est perfectionné au fil des rencontres. On a toujours écouté de la musique brésilienne (mon grand-père était brésilien) à la maison et je pense que ça a marqué ma mémoire musicale, beaucoup plus que la musique africaine. J’adore la musique brésilienne qui est très riche et avec laquelle tous les mélanges sont permis. J’interprète les grands noms de la musique brésilienne avec une touche personnelle, une pincée de rythmes africains et une poignée de flamenco ! Mon objectif ce n’est pas d’imiter qui que ce soit, mais de créer des nouveaux sons et de rendre hommage à Caetano, Gil et tant d’autres…Malgré le fait de vivre en France depuis presque 30 ans, je ne suis pas fait pour chanter la chanson française !

Brasilidade : Que penses-tu des musiques brésilienne et française actuelles ?

CC : La musique brésilienne est en perpétuelle évolution, l’ancien et le moderne se mélangent pour créer du neuf. La musique française aussi. J’écoute Lenine, Fernanda Abreu, Paul Personne, M,…c’est qui est actuel est toujours en mouvement ! En tant que musicien, on doit être attentif à ce qui se passe autour de nous pour pouvoir aller au-delà du connu.

Brasilidade : Quels sont tes projets à venir ?

CC : Je poursuis ma route parfois en solo parfois avec Bandorio - formé avec Roberto Sapo dans la région. Je pense que je suis un ‘jeune musicien’ et que j’ai encore beaucoup à apprendre et à inventer. J’étais en Inde, récemment, et je suis revenu plein d’idées… !

Carlinhos Correia joue, avec Bandorio, samedi 24 au restaurant l’Odyssée à Sommières.

CC

©S. Conte Brasilidade 2011

17 septembre 2011

Recyclage : Sapotek, l’art et la manière de re-créer la musique

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Le projet SAPOTEK, une initiative du musicien brésilien Roberto Bandeira de Mello, a démarré en 2001 à Rio de Janeiro auprès des communautés démunies et des écoles, a traversé l'Atlantique et s'est installé à Montpellier city.

L’idée est de construire des instruments musicaux avec des matériaux alternatifs (parfois trouvés dans les poubelles), les recycler et les utiliser pour développer l’intégration sociale au travers de la musique.

Depuis sa création, SAPOTEK n’a cessé de plaire et de grandir. La preuve est que Roberto Mello travaille actuellement dans plusieurs lieux à Montpellier et pour lui, le projet atteint au fil des années ses objectifs : « recyclage-éducation-musique et socialisation » !

SAPOTEK : projet culturel, éducatif et ludique – construction d’instruments musicaux avec des matériaux recyclés. Tout public.

Contact :

Roberto Bandeira de Mello

sapotek@yahoo.fr

Sapotek organise une séance d’expression musicale avec des instruments de récupération

 

Dimanche 25 septembre à partir de 15h00

 

11, rue Draparnaud - Montpellier

 

Adultes seulement

 

Entrée payante

 

Sapotek souhaite désacraliser l'instrument de musique 
à travers une activité ludique et propice à la détente. Aucune compétence n’est requise, les instruments musicaux ne ressemblent à rien que l’on connaît.

 

« C’est l’occasion de pouvoir communiquer autrement, d’apprendre à s’écouter, de lâcher prise tout en découvrant la musique. Ensemble, nous faisons un cercle musical sonore libre. »

 

Contact : coryn@free.fr


12 avril 2011

Musique brésilienne : BandOrio, un trio pas comme les autres, fait son entrée sur la scène montpelliéraine

Le vendredi 15 avril au Baloard - 21H

BandOrio :

Pierre Mounier, français, trompettiste

Roberto Bandeira de Mello, brésilien, percussionniste

Carlinhos Correia, mozambicain, chanteur et guitariste

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Pour leur première à Montpellier, le trio présentera un répertoire composé de chansons brésiliennes classiques et nouvelles tendances - mélange de samba rock, funk, électronique et jazz.

Roberto Mello explique que le groupe souhaite « présenter toute la diversité et la richesse de la musique brésilienne, depuis Pernambouc jusqu’à Rio, et en plus, le show contera avec la participation spéciale de la chanteuse Brigitte Brès, leader du groupe montpelliérain Onda Maracatú. »

Le percussionniste brésilien raconte que l’idée de former le groupe est venue de l’envie de réunir trois musiciens originaires de trois pays différents unis par la même passion. « En tant qu’originaire de Rio, je porte en moi un peu de mon histoire musicale qui commence avec la samba, ancré dans mon enfance à Barra da Tijuca, et passe par la samba rock et la musique électronique. Carlinhos Correia, originaire du Mozambique, citoyen du monde, bahianais de cœur et attaché à la musique de Pernambouc, apporte avec lui les rythmes afro-brésiliens : le afoxé, le maracatú et l’énergie du Oludum. Pierre Mounier, trompettiste français, ramène le groove, le jazz-funk et un amour indéniable par la bossa-nova ! »

Roberto Mello promet que ce premier concert sera surprenant, « anthropophagique et intemporel, telle la nouvelle musique brésilienne ».

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