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Brasilidade - notícias com um toque brasileiro

12 octobre 2009

Brésil littérature et cinéma : court-métrage inspiré du conte de Reinaldo Moraes reçoit prix au Festival de Toronto

Le court-métrage Sildenafil, de Clóvis Melo, inspiré du conte de Reinaldo Moraes, a reçu plusieurs prix de meilleur film, meilleur acteur (Ricardo Petraglia) et meilleure actrice (Marília Medina) au 3è Festival de Cinéma Brésilien de Toronto.

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11 octobre 2009

Brasilidade, l'info avec une touche brésilienne

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9 octobre 2009

Brazilian art attack : october is the month that Brazil takes over London's Walls

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By Morena Madureira

After Brazilian cinema seized London last month by way of two big festivals and dozens of new films, in October it’s time for visual arts to take the lead – yes, it’s another Brazilian invasion. Because of the numerous Brazilian art exhibitions taking place this month, Jungle have prepared this special guide on what to see and where, from the sacred Photographers' Gallery to new alternative spaces like Pure Evil. And if you think the galleries themselves are eclectic, the artists behind them are even more so. This is a great chance for Londoners to check out a sample of the huge range of art being produced in Brazil today, from graffiti to sculpture, photography to painting.

CHOQUE CULTURAL

TAKES OVER 

15th Oct - 15th Nov 

Further proof of the growth of Brazilian graffiti in the UK, Choque Cultural, a hip gallery in São Paulo, invades Pure Evil in Shoreditch for a month, bringing prints from Choque Cultural’s resident Brazilian artists, as well as a series of workshops, lectures and cultural events for schools and the general public. There are some heavyweight names in Brazilian graffiti attending, including Calma, Ramon Martins, Speto, Titi Freak and Zezão, whose work you can see below.

Pure Evil Gallery, 108 Leonard St.

pureevilclothing.com

choquecultural.com.br

Pour en savoir + : jungledrumsonline.com

 

5 octobre 2009

Mario Testino, célèbre photographe, raconte son histoire d’amour avec Rio

Mario Testino, photographe des têtes couronnées, des célébrités et des top-modèles, vit une grande histoire d’amour avec Rio de Janeiro depuis plus de 30 ans. Dans ce livre, il rend hommage à la ville brésilienne avec son style inimitable, proposant une vision éblouissante de ses couleurs, de sa passion et de sa sensualité effrontée.

Pour en savoir + : www.taschen.com

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5 octobre 2009

Delicinha : Choro de gafieira no Favela Chic

Choro de gafieira c'est le choro, style brésilien à la fois populaire, virtuose et savant, sublimé du coté festif de la gafieira , la version bal de la samba carioca. C'est en trio que ces musiciens venus d'horizons musicaux différents (classique, jazz, samba, rock...)  se retrouvent pour redonner vie à cette musique pionnière du métissage de la musique brésilienne.

Leur répertoire inclus les grands compositeurs classiques : Pixinguinha, Jacob do Bandolim, Ernesto Nazareth.... Ainsi que les contemporains comme Hermeto Pascoal et Paulinho da Viola, et leurs propres compositions aussi! Suivi de dj THY, notre blessed Pomba gira!

Mardi 6 DELICINHA
Choro de Gafieira + dj THY
Pour en savoir + : www.favela chic.com/paris
Delicinhabaixa
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3 octobre 2009

Rio accueillera les Jeux. Lula pleure. Les Argentins aussi.

Rio était la ville favorite. Chicago a été éliminée dès le premier tour. Barack Obama s'est comporté avec la sagesse des vieux éléphants. Quand ils pressentent la mort, les éléphants ont tendance à s'éloigner. Ils préfèrent mourir seuls et épargner les contraintes au troupeau.

Le dernier à arriver, Obama a été le premier à partir. Il est resté dans la capitale danoise seulement cinq heures.

Lula, au contraire, a parcouru la ville pendant deux jours. Pendant la présentation, il a dit : « Parmi les dix plus grandes économies du monde, nous sommes les seuls à ne jamais avoir accueilli les Jeux Olympiques ... Pour d'autres, ce sera juste une Olympiade de plus. Mais pour nous, c'est une occasion unique. »

Après Chicago, c’était le tour de Tokyo d'être renvoyée. Et puis, il en restait Madrid. Le suspense a duré plus d’une heure. Soudain, l'annonce: "Rio de Janeiro." Le score sera révélé plus tard. Rio, 66 voix. Madrid, 32. Goleada !

C’est l’euphorie. Une euphorie compatible à la taille de la responsabilité: US13,92 milliards. C'est le coût de l'enjeu.

Lula a beaucoup ri. Lula a pleuré. Lula a gagné : « Nous ne sommes plus considérés comme une nation de seconde classe ». Ou:  « Le monde a reconnu la place du Brésil ». Et il a souligné: « Cette élection n'est pas seulement la nôtre. C'est celle de l’Amérique du Sud ».  Mais pas tellement.

Le triomphe de Rio a fait la Une des sites internet des principaux journaux de la planète. Sauf celui du quotidien argentin Clarín, qui a publié une simple note.

Exclu de la course, Buenos Aires soutenait (comme toujours) Madrid. Comme vous le savez, l'Argentine et le Brésil ne sont voisins que par fatalité géographique. Fondamentalement, l’Argentine est le pays européen le plus proche de la frontière brésilienne. Le succès du Brésil fait mal à l’âme argentine.

L’avion du couple Kirshner doit être déjà sur le tarmac, prêt à décoller. Plus tard les Kirshner sonneront à la porte d’un certain appartement du quartier de Higienópolis, à São Paulo. Avec FHC (*), ils écouteront Infamia de Gardel et ils verseront des larmes à la troisième strophe:

“Tu angustia comprendio que era imposible, luchar contra la gente es infernal. Por eso me dejaste sin decirlo... amor!... y fuiste a hundirte al fin en tu destino. Tu vida desde entonces fue un suicidio, voragine de horrores y de alcohol; anoche te mataste ya del todo, y mi emoción te llora en tu descanso.. corazón!”

Par Josias de Souza, chroniqueur du quotidien Folha de S. Paulo
(*) Fernando Henrique Cardoso, ancien Président brésilien
Traduction : Brasilidade

 

 

2 octobre 2009

Badi Assad se présente aux Internationales de la Guitare de Montpellier

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Chant & Guitare Brésilienne

Samedi 3 octobre 2009 

Théâtre Jacques Coeur - Lattes

Carnet intime

Lieu de naissance : São João de Boa Vista, São Paulo
Vin, bière ou cachaça : Ca dépend de la situation (rires). La cachaça, en traversant le désert; la bière dans un bar avec les amis; le vin (le Merlot, de préférence), au restaurant
Chanteur préféré : Caetano Veloso
Film préféré : Dans la peau de John Malkovich
Plat préféré : Les haricots de ma mère
Secrets de beauté : S'aimer ! Mais pour se protéger du soleil, rien de mieux qu'une crème indice 30 !
Adresse préférée au Brésil : Paraty
Adresse préférée en France : La Cathédrale d'Images (Beaux de Provence)
Qu'est-ce que la musique représente pour moi ? Connexion
Qu'est-ce que je pense de la musique française ? Nostalgique
Quelque chose que je déteste : L'injustice
 
Badi Assad est guitariste, chanteuse, percussionniste et compositeur brésilienne. Elle a commencé ses études musicales quand elle était toute petite, avec un petit clavier. A l’âge de 14 ans, quand ses frères plus âgés ont quitté la maison pour développer une carrière internationale en tant que concertistes, elle a commencé à jouer de la guitare pour accompagner son père, un mandoliniste, et par la suite a entamée une formation en guitare à Rio de Janeiro.

Badi a remporté le concours de jeunes instrumentistes en 1984 et depuis a commencé à explorer des nouvelles possibilités avec la voix et les percussions.

Son premier album solo était Dança dos Tons sorti en 1989. Au début des années 90, Badi se produit dans des festivals comme le Free Jazz Festival et le Heineken Concerts à côté d’Heraldo do Monte, Raul de Souza, Raphael Rabello et Dori Caymmi.

Sa carrière internationale a été propulsée en 1994, quand elle a signé avec le label Chesky Records et a enregistré l'album Solo. L'année suivante, c’était Rythmes. Puis vint Echoes of Brazil (97) et Chameleon (Verve, 99), acclamé par la critique internationale.

Au Brésil, Badi Assad a lancé Verde (Universal, 2004) et l'excellent Wonderland (Universal, 2006), avec la participation spéciale de Seu Jorge, entre autres.

L'expérimentation sonore avec la voix et le corps sont les marques de son travail.

Pour en savoir + :  www.internationalesdelaguitare.com

1 octobre 2009

Se faire soigner en France : va-t-on vers une soviétisation de la santé ?

Malaise chez les médecins, déficit de la Sécurité Sociale, qualité des soins en France. Rémy Lehnisch, médecin, aborde dans cette ITW certains aspects de sa profession et réagi sur certains sujets d’actualité comme la grippe A. Sur ce point, il manifeste son agacement, ses inquiétudes par rapport au vaccin et fait appel au bons sens et à la liberté de choix des français.

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Brasilidade : Les médecins français sont-ils en bonne santé ?

Rémy Lehnisch : Ça devient de plus en plus difficile d’exercer la médecine en France. Il existe une chape administrative de plus en plus pesante qui impose des contrôles de plus en plus fréquents. Cela dure depuis une dizaine d’années. Les médecins sont épuisés (burn out). La plupart du temps les médecins généralistes sont seuls à gérer tout le côté administratif. Il existe actuellement un vrai malaise chez les médecins, mais tout ceci reste un tabou : le nombre de suicides chez les médecins a augmenté, mais personne n’en parle.

Brasilidade : Quant on parle du déficit de la Sécurité Sociale française, on reproche souvent aux médecins de prescrire trop de médicaments et d’analyses…

RL : J’appelle cela la « soviétisation de la société » et je pense que ça va s’empirer. Il faut chercher un coupable, n’est-ce pas ?! C’est l’État qui fixe le prix des médicaments et non les médecins. S’il y a prescription c’est parce que le médicament est efficace. On ne peut pas faire un diagnostic correct sans faire d’analyses. Et puis, quinze minutes avec un patient, ce n’est pas suffisant. Dans l’idéal, il faudrait en passer 30. La profession se bat tant bien que mal pour ça et pense qu’une consultation plus lente serait à long terme une solution plus économique.

Brasilidade : La médecine française est toujours une médecine de qualité ?

RL : Oui même si la France manque de certains équipements (le nombre d'appareils IRM serait insuffisant), selon l’OMS, la France est toujours enviée par d’autres pays. Il faut savoir qu’en France on va se diriger  de plus en plus vers une médecine à deux vitesses (y suffit de voir le délai d’attente pour un rendez-vous chez certains spécialistes) mais l’accès aux soins restera de qualité.

Brasilidade : Un mot sur la grippe H1N1.

RL :  J’en ai ras le bol de toute cette médiatisation à propos d’une grippette qui est très contagieuse, certes, mais qui est moins grave que la grippe saisonnière. La grippe ordinaire tue chaque année dans le monde entre 250.000 et 500.000 personnes et personne n’en parle (1). En ce qui concerne le vaccin, je reste très méfiant et je ne me vaccinerai pas (un médecin sur deux ne veut pas se faire vacciner). Pourquoi ? On a autorisé de mettre dans ce vaccin un adjuvant tel que le squalène, explicitement responsable du syndrome de la guerre du Golfe (2), et puis ce vaccin a été fait à la va vite et on ne connaît pas ses effets secondaires : on craint à une possible recrudescence du syndrome de Guillain Barré (3). Je suis contre une vaccination massive et je fais appel au bon sens des citoyens français. Il faut laisser la liberté de choix à chacun.

  

(1) La grippe H1N1 a tué jusqu’ici 3.486 personnes dans le monde.

(2) Syndrome qui avait rendu 180.000 GI’s malades (25% des soldats).

(3) Maladie neurologique dégénérative déclenchée la plupart du temps par l’acte vaccinal. À titre d’exemple, le nombre de scléroses en plaques en France est passé de 25.000 à 85.000, suite à la campagne de vaccination contre l’hépatite B.

 

 

29 septembre 2009

Brazilians like their coffee strong as the devil, hot as hell and sweet as love*

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It inspires passion, opinion and addiction. It’s the world’s second most valuable commodity (after petroleum), and it will almost certainly play a memorable role in your travels, no matter where you’re headed. We’re talking about coffee, of course, and the best places to partake…

In São Paulo

Brazilians like their coffee strong as the devil, hot as hell and sweet as love. In the morning they take it with milk (café com leite). After that, it’s cafezinhos, regular coffee served in either a glass or an espresso-sized cup. Thanks to its Italian heritage, São Paulo boasts Brazil’s best cafés, with Café Floresta being one of our favourites.

(*) Les Brésiliens aiment leur café fort comme le diable, chaud comme l'enfer et doux comme l'amour.

By Jungle Trips

 

29 septembre 2009

Coup de projecteur de Brasilidade sur le Forró Bentivi

Mercredi 30 septembre : Super édition du Forró Bentivi au Baloard, à Montpellier.

Avec la présence des Djs du projet NM&DD, made in São Paulo.

Baloard :  21, Boulevard Louis Blanc 34000 Montpellier - 04 67 79 36 68

PAF : 5 euros

Pour en savoir + : www.myspace.com/nmdd

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