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Brasilidade - notícias com um toque brasileiro

30 novembre 2010

Bab and the Queen : l’affaire est toujours dans le sac


Exposition-vente des sacs de la marque Bad and the Queen du 1er au 24 décembre de 16h à 19h chez ALDEBARAN – 2 rue du cours complémentaire – Castries

Pour en savoir + : www.aldebaran-creation-contemporaine.com

Pour en découvrir + : www.babandthequeen.com 

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28 novembre 2010

Les Rencontres Internationales Paris/Berlin/Madrid reçoit artistes et réalisateurs du monde entier

Du 26 novembre au 4 décembre 2010, les Rencontres Internationales Paris/Berlin/Madrid créeront, au Centre Pompidou, et dans d'autres lieux, à nouveau pendant 9 jours un espace de découverte et de réflexion dédié aux images contemporaines, une programmation inédite entre nouveau cinéma et art contemporain, avec des projections en salle, une exposition multimédia, des débats et tables rondes.

En présence 100 artistes et réalisateurs du monde entier, cette édition exceptionnelle proposera une programmation internationale inédite réunissant 150 oeuvres provenant de 50 pays, la plupart présentées à Paris pour la première fois et en présence de leurs auteurs. Avec de nombreux films présentés en première, une programmation vidéo, des concerts multimédias, des débats.

A la Une : la projection en première de "O nosso homem" de PEDRO COSTA (PT)

Pour en savoir + :  www.art-action.org

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27 novembre 2010

L’Éthique et le Développement responsable : comment devenir un manager responsable ?

Les grands scandales financiers du début du vingt-et-unième siècle ont renforcé les procédures comptables et juridiques et imposé aux entreprises un mouvement incontournable dans lequel elles doivent désormais impérativement s'inscrire : le Développement Responsable.

Mais l'ensemble de ces procédures n'ont pas permis d'éviter la crise financière mondiale et ses scandales.

Cela signifie qu'un Code d'éthique ou un Code de conduite des affaires doit impérativement faire l'objet dans l'entreprise d'une appropriation pragmatique et opérationnelle à tous les niveaux hiérarchiques afin d’assurer la performance économique et humaine de l’entreprise sur le long terme.

Le Développement Responsable implique donc une éthique des leaders qui tienne compte de l'ensemble de ces impératifs.

Les entreprises vont – elles de plus en plus aujourd’hui vers la dynamique de l’éthique ? Pour les grandes entreprises cotées sur le marché, cela est une contrainte demandée par les règles des marchés financiers. Mais la mise en pratique de l’éthique dans l’entreprise dépend également de la volonté du dirigeant car pour l’intégrer comme un facteur clé de succès de la durabilité de l’entreprise, il doit lui-même y croire.

Comment définir l’éthique en entreprise? Les codes éthiques s’appliquent-ils pour tous les types d’entreprises? Est-ce que le développement responsable est « rentable » pour une entreprise? Enfin, l’éthique, le développement responsable sont-ils des tendances durables?

Éléments de réponse à toutes ces questions dans le livre d’Emmanuel Toniutti « L'urgence éthique, une autre vision du monde des affaires » (Éditions JePublie).

Présentation du livre le vendredi 3 décembre à partir de 8h00 à Châteauform’ sur le Pouce (Parc Monceau) 2 avenue Velasquez 75008 Paris

Pour en savoir + : www.iecg.eu.com

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26 novembre 2010

Tendances de la littérature brésilienne contemporaine : auteurs et critiques

Conférence-débat organisée par le Centre de Recherches sur les Pays Lusophones (CREPAL)

Jeudi 2 décembre  de 9h à 19h

Maison du Brésil

7L, boulevard Jourdan Paris


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26 novembre 2010

Lisboetas documentaire lusophone de Sérgio Tréfaut à Rennes

Le 1er décembre à 20H30

Le Collectif Brésil et le département de portugais de Rennes 2 vous invite à la projection du  documentaire Lisboetas du réalisateur portugais Sérgio Tréfaut.

Le film propose un portrait de la nouvelle immigration arrivée à Lisbonne entre 1998 et 2004. Parmi ces immigrés, des brésiliens, des russes, des nigériens. Avec un regard à la fois politique et humain, Sérgio Tréfaut nous montre les aspects de leur intégration : leur rapport aux autorités, au travail informel en passant par la langue, la religion et les loisirs.

Ce documentaire a gagné le prix du meilleur film portugais au festival Indielisboa en 2004.

Au Tambour (Rennes 2 université)

Pour en savoir + : www.bresilarennes.fr

Brasilidade, partenaire du Collectif Brésil à Rennes

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25 novembre 2010

Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes

Appeler les femmes le sexe faible est un mensonge. C’est une injustice des hommes faite aux femmes. Si la non-violence est la loi de nos êtres, le futur est avec les femmes. (Gandhi)

Mettons fin au cycle de la violence : appelez le 3919

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Pour en savoir + : www.npns.fr

25 novembre 2010

III Semaine de la Conscience Noire Brésilienne à Clichy

Les 27 et 28 novembre à partir de 10 H

Salle Mertyr Tdydfil - Place du Marché du Centre 92100 - Clichy la Garenne

Pour en savoir + : afrosmundos.blogspot.com

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25 novembre 2010

Out of the blues, un album vendu au profit de AIDES

 

Le 29 Novembre 2010, à la veille de la journée mondiale de lutte contre le sida, sortira chez Universal OUT OF THE BLUES, un album du guitariste Jean-Pierre Danel, double disque d’or et n°1 des ventes en 2006 avec Guitar Connection.

Vendu au profit de AIDES et de la lutte contre le sida, OUT OF THE BLUES est accompagné d’un DVD de 2h30, incluant une méthode pour jouer le Blues à la guitare et le making-of de l’album.

Jean-Pierre Danel et ses invités y revisitent les grands standards du genre dans cet album de 18 titres, et l’enrichissent de 10 compositions inédites. On y retrouve notamment Revolution (Beatles), Blue Suede Shoes et Hound Dog (Elvis Presley), Rock Me Baby (BB King), Sweet Home Chicago (Blues Brothers) ou encore Lucille (Little Richard), Tulsa Time (Eric Clapton), etc.

Pour en savoir + :  www.aides.org

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24 novembre 2010

L’exode des Brésiliens gagne du terrain en 2009 et bat le record de la décennie

En 2009, le nombre de passagers entrant et sortant par voie aérienne en provenance du Brésil a représenté environ 90.000 personnes.

L'année précédente, les chiffres ont révélé un phénomène inverse. Le solde était négatif, indiquant qu'en 2008, environ 28.000 personnes de plus ont rentré dans le pays par rapport à ceux qui sont partis.

« L'année 2008 a été une année spéciale. La crise a atteint fortement le marché de l'emploi, notamment dans les pays vers où la migration avait l’habitude de se diriger. En 2009, le nombre de sorties a augmenté a une vitesse incroyable », estime Hugo Klagsbrunn, chercheur et auteur de l'enquête sur l’exode des Brésiliens.

Le chercheur affirme que les chiffres de son rapport servent de baromètre pour  identifier les tendances de la migration des Brésiliens - un mouvement qui n'a pas d’indicateurs officiels.

Désinformation : malgré la crise, l’exode continue de croître

Selon Gill Williams, professeur des relations internationales à l'Université d'État de Rio de Janeiro (UERJ), l'un des facteurs qui peuvent expliquer cette apparente contradiction est le manque d'information des nouveaux immigrants sur la gravité de la crise.

Klagsbrunn suggère encore une autre explication pour le phénomène. Malgré la croissance de l'économie brésilienne, pour beaucoup, essayer de vivre à l'étranger semble encore une meilleure option. Pour lui, la redistribution des revenus, le programme Bolsa Familia et l'augmentation du salaire minimum a profité à la classe inférieure de la population, mais une grande partie de la classe moyenne demeure sans perspective de croissance au Brésil.

« On se demande pourquoi les gens continuent de partir du Brésil si le pays va si bien. Mais, ce n’est pas tout à fait ça. Beaucoup de monde, par exemple, a essayé  l’ascension sociale à travers l'université, mais n’ayant pas réussi, ils se sont retrouvés sans aucune perspective au Brésil », explique le chercheur.

Historique de la migration brésilienne

Selon Klagsbrunn, les données de l’ANAC (Aviation brésilienne) indiquent que l’exode des Brésiliens a pris de l’ampleur à partir de 1980. Depuis, la tendance des départs vers l’étranger est restée positive.

Le solde migratoire (*) est devenu négatif à trois moments  (1998, 2001-2004 et 2008), toujours associés aux crises internationales. L’inversion la plus drastique s’est produite en 2001, lors des attentats du 11 septembre à New York qui ont freiné le flux migratoire vers les États-Unis.

Devant le renforcement du contrôle des frontières aux États-Unis, l’immigration brésilienne a changé de cible. À partir de 2005, il y a eu une arrivée massive de brésiliens en Europe.

La quête de meilleures opportunités en dehors du Brésil se traduit par un exode qui existe déjà depuis trois décades. Aujourd’hui, le Ministère des Relations extérieures estime le nombre de brésiliens à l’étranger à 3 millions.

Migration brésilienne en chiffres

2000 - 118,6 mille

2001 - -13,2 mille

2002 - -26,5 mille

2003 - -7,7 mille

2004 - -28,9 mille

2005 - 24,8 mille

2006 - 58 mille

2007 - 77 mille

2008 - -28 mille

2009 - 90,7 mille

(*) Le solde migratoire est la différence entre le nombre de passagers qui sort et qui rentre au Brésil chaque année.

Sources : ANAC et BBC

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22 novembre 2010

Maria Inês Guimarães : chaque sortie de disque est comme une arrivée au port

Depuis le début de sa carrière, Maria Inês Guimarães, pianiste, musicologue et compositrice brésilienne, consacre toujours une partie de ses créations à la musique aussi bien traditionnelle que classique. Que ce soit au Brésil ou ailleurs, Bach, Beethoven, Fauré et Kurtág côtoient Nazareth, Mignone, Abreu, Villa-Lobos et Antunes.

En France depuis 1988, Maria Inês a soutenu en décembre 1996, un doctorat en Histoire de Musique et Musicologie à Paris. L'improvisation libre est l’une de ses passions et avec son groupe de choro, elle maintient bien vivante la tradition du "Chorinho" qui est plus que centenaire. Depuis 2007, elle est professeur titulaire au Conservatoire d'Antony (au sud de Paris). Maria Inês Guimarães a déjà enregistré une dizaine de disques en tant qu'interprète, compositeur et musicologue.

Carnet intime

Lieu de naissance : Uberaba, Minas Gerais, Brésil
Plat préféré : Arroz, feijão e carne moida ou une blanquette de veau
Musicien préféré : Marisa Monte
Secret de beauté : Dormir, sourire
Adresse préférée au Brésil : Bar do Mario à Uberaba ou plus sérieusement Sala São Paulo
Adresse préférée en France : Bar do Carlos à Antony ou Théâtre du Châtelet
J’adore : Un repas entre amis
Je déteste :  Les réunions de travail
Si j’avais une baguette magique : Je payerais pour faire mon travail : être sur scène tous les jours pour partager le plaisir avec un public

Brasilidade : Maria Inês, quels sont les moments les plus forts et  importants de ta carrière professionnelle ?

Maria Inês : Mon déménagement en France a été un tournant car à ce moment-là j'ai abandonné ma carrière de dentiste pour me dédier à ma passion. Ensuite, il y a eu la soutenance de ma thèse de doctorat en musicologie à la Sorbonne, moment très fort aussi. Sinon, chaque sortie de disque est comme une délivrance, une arrivée au port. Et l’on a qu'une envie c'est de repartir sur un nouveau projet. J'ai vécu aussi des moments intenses dans la pédagogie. Il est enivrant de voir les jeunes enfants jouer les thèmes de choro que j'interprétais dans mon enfance.

Brasilidade : Tu vis en France depuis quelques années. Comment concilies-tu les deux cultures ? Qu’est-ce qui a changé dans ta vie et dans ton travail ?

Maria Inês : J'ai ne rien changé dans mon travail. Je dédie plus de temps à la musique et j'ai choisi de me concentrer sur un seul métier (si multiple et varié soit-t-il). Dans ma vie, je m'adapte très facilement là où je suis. En somme, ici je bois du vin et au Brésil de la bière.

 Brasilidade : Parle moi de tes passions et de tes réalisations en France, notamment de L’attachement des Bobines et du Club du Choro.

Maria Inês : Ces deux univers très différents sont pour moi en complémentarité. Les Bobines font un travail d'improvisation libre, quasi ludique où la création dans l'instant est primordiale. Avec le Club du Choro nous faisons la transmission d'une culture déjà séculaire (!), c'est plus cadré, plus réfléchi, tout en gardant le plaisir de faire de la musique.

Brasilidade : As-tu des nouveaux projets pour 2011 ?

Maria Inês :  Un nouveau CD avec mon quartet (Bruno Wilhelm saxophone, Paul Mindy percussions et Dominique Muzeau à la basse acoustique), un travail musical sur le choro et l'improvisation et aussi le VI festival de Choro qui aura lieu à la maison du Brésil en mars.

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Maria Inês - En concert le 27 novembre aSwan Bar à Paris

 

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