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Brasilidade - notícias com um toque brasileiro

3 octobre 2013

Photoquai : deux brésiliens exposent à la Biennale des images du monde Photoquai 2013

www.photoquai.fr

Jusqu'au 17 novembre

Depuis sa création en 2007 à l’initiative du musée du quai Branly, la biennale de photographie Photoquai met en valeur la photographie non-occidentale et présente au grand public international des artistes dont l’œuvre est inédite ou peu connue en France.

La sélection 2013, rassemblée sous le thème « Regarde-moi ! », a un dénominateur commun : toutes les séries photographiques ont à voir avec la figure humaine. Paysages, objets, mode ou architecture y apparaissent comme des éléments d’accompagnement de la personne. Dans toutes les séries, c’est le corps qui est l’unité de mesure de notre univers.

40 photographes de 29 pays exposent près de 400 images

PHOTOQUAI présente les œuvres de photographes contemporains du monde entier, talents inédits ou peu vus en Europe et provenant des grandes zones géographiques représentées au sein des collections du musée du quai Branly : Amérique du Sud et centrale, Asie, Océanie, Afrique, Proche et Moyen-Orient, Russie.

La sélection rend compte de la diversité des manières de percevoir le monde non-européen aujourd’hui, de l’intérieur, par les artistes qui y vivent, loin des clichés que véhicule souvent une certaine photographie touristique. Il ne s’agit pas d’avoir une illustration systématique de la photographie d’un large panel de pays, mais de mettre en valeur des artistes et des œuvres sans exhaustivité géographique.

Les photographes latino américains présents à Photoquai 2013 :

  • Pérou : Musuk Nolte

  • Mexique : Roberto Molina Tondopó, José Luis Cuevas, Alejandro Cartagena

  • Brésil : Pedro David, Gustavo Lacerda

  • Panama : José Castrellón

  • Colombie : Adriana Duque

  • Chili : Andrés Figueroa

 

 

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1 octobre 2013

Economie : l'agro négoce brésilien devra garantir la moitié de l'expansion du PIB et sauver l'économie cette année

Avec la récolte 2014, qui commence à être plantée ce mois-ci, le Brésil devra dépasser les Etats-Unis et devenir le plus grand producteur et exportateur mondial de soja.

Près de la moitié de l'expansion de l'économie brésilienne cette année viendra de l'agro-industrie, dont le fleuron est le soja. Avec une production record, le grain doit conduire le pays à une position inédite. La production brésilienne, estimée à 88 millions de tonnes de soja en 2014, devrait dépasser la récolte américaine de 85,7 millions de tonnes, qui se trouve dans sa phase finale et a été affectée par la sécheresse.

L'estimation de croissance du secteur est de 5% cette année, selon la Confédération nationale de l'agriculture et de l'élevage (CNA). Si ces estimations sont confirmées, le PIB agro-alimentaire brésilien devrait s'élever à R$ 1,038 trilhão en 2013 et répondre à 23% de toute la richesse produite dans le pays.

Alors que la production industrielle et les ventes au détail ralentissent et patinent, les évidences de la puissance de l'agro-industrie brésilienne à tirer d'autres secteurs de l'économie (matériaux, services,...) commencent déjà à se faire sentir.

28 septembre 2013

L'éclipse du Brésil: le pays ne brille plus dans le ciel de la finance mondiale

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Le changement radical de l'image du Brésil à l'étranger est dû en grande partie à la mauvaise performance de l'économie brésilienne. Après une croissance de 7,5% en 2010, la dernière année du gouvernement Lula, le pays a ralenti. En 2011, la croissance du PIB n'a pas dépassé 2,5%. En 2012, il a encore ralenti, à 1,35%. C'est un niveau bien inférieur à la moyenne mondiale dans la même période, soit 3,3%, et des estimations hyper optimistes, jusqu'à 5%, faites par le ministre Mantega au début de l'année dernière.

L'idée du Brésil en train de décoller est passée. Les capitaux étrangers sont déjà en train d'investir ailleurs.

Il faut dire, en faveur du gouvernement, que la mauvaise performance de l'économie n'était pas un privilège du Brésil l'année dernière. L'ensemble des pays en développement qui forment les BRICS - Brésil, Russie, Chine, Inde et Afrique du Sud - a subi un ralentissement de la croissance et a perdu de l'influence dans l'économie mondiale. Sauf qu'aucun des BRICS a eu un résultat aussi désolant que le Brésil durant cette période. Pour relancer l'économie et stimuler l'investissement privé, le gouvernement brésilien a tout essayé. Taux d'intérêts réduits, baisse des tarifs de l'énergie, exonérations fiscales pour les secteurs qui ont su crier plus fort à Brasilia. Rien de tout cela n'a fonctionné.

Devant ce tableau nébuleux, les hommes d'affaires brésiliens se sont rétractés. Bien que le gouvernement a essayé de tirer parti de l'investissement dans les infrastructures de production et en utilisant toutes sortes de stimuli, la réponse n'est pas venue. Les investissements ont chuté considérablement. En 2012, le volume des investissements s'est élevé à 18,7% du PIB. Il est en baisse de 5,6%, un résultat bien en dessous de la moyenne mondiale.

En considérant que l'augmentation des investissements est essentiel pour le Brésil entrer dans la voie d'une croissance durable, un tel résultat est dramatique. Au cours des dernières années, le gouvernement a misé sur l'expansion de la consommation. Il croyait qu'elle tirerait inévitablement des investissements vers la production. Mais cela n'a pas été le cas. Au Brésil, en plus de l'épargne privée être faible, le gouvernement dépense presque tout ce qu'il gagne avec l'appareil administratif. Il n'en reste pas beaucoup pour les investissements ce qui rend le pays encore plus dépendant des investissements étrangers pour se développer.

Le meilleur moyen de compenser le manque d'épargne nationale brésilienne est d'attirer les investisseurs étrangers et non les faire fuir à cause d'une mauvaise performance économique. Le capital étranger n'est pas - et ne sera jamais - à lui seul suffisant pour développer un pays comme le Brésil. Mais il est essentiel pour compléter les investissements de capitaux nationaux.

Les nouvelles étoiles dans le ciel des finances globales

1.Chilli

2.Colombie

3.Philippines

4.Indonésie

5.Nigeria

6.Mexique

7.Pérou

27 septembre 2013

Cinéma: 9è édition de Brésil en Mouvements affiche la diversité cinématographique brésilienne

Organisée par l’association Autres Brésils

Du 9 au 13 octobre au Cinéma La Clef (Paris 5è)

Pendant les cinq jours du festival cinématographique, les amateurs pourront découvrir une programmation riche en documentaires inédits, rencontrer et discuter avec des réalisateurs, des spécialistes et des représentants des mouvements sociaux brésiliens et français.

Au cœur de cette 9è édition, les questions sociales et environnementales mais aussi une ferme conviction en soutenir les productions audiovisuelles hors réseaux de distribution habituels afin de promouvoir et assurer la diversité cinématographique et culturelle en France et au Brésil.

Au programme, sept thématiques différentes :

- Travail domestique (Projection de Doméstica)

- Femmes en résistances (Projection de Silêncio das Inocentes et de Virou o jogo : a história de Pintadas)

- Santé et exclusion sociale (Projection de A Cidade et de Os melhores anos de nossas vidas)

- Santé : modes de vie en question (Projection de Muito além do peso)

- Révolution à domicile (Projection de Disque Quilombola et Doméstica)

- Dictature et résistances (Projection de Marighella, Em nome da segurança nacional et O fim do esquecimento)

- Football: la coupe est pleine ? (Projection de 4 courts-métrages autour du thème :

O pai do gol ; Virou o jogo : história de Pintadas ; Vila das Torres ; Jogos de poder)

- Musique en action (Projection de Noitada de Samba, Foco de Resistência)

Soirée de cloture : Concert de Dudu d’Aquarela/ Filosofia do Samba "Voyages em MPB"

 

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Pour en savoir + : bresilenmouvements.org

25 septembre 2013

Art contemporain : 12e Biennale de Lyon accueille cinq artistes brésiliens

Jusqu’au 5 janvier 2014

Jonathas de Andrade Souza

Né en 1982 à Maceió (Brésil). Vit et travaille à Recife (Brésil).

À l’occasion de la Biennale 2013, Jonathas de Andrade Souza raconte l’histoire d’un bonbon. Son œuvre se fonde sur des recherches historiques, textuelles et photographiques. À partir d’un processus de documentation d’une précision quasi-anthropologique, l’artiste développe des installations conceptuelles qui mettent à jour l’amnésie culturelle frappant un certain nombre de réalités sociales, politiques, culturelles et idéologiques du monde contemporain.

Thiago Martins De Melo

Né en 1981 à São Luís do Maranhão (Brésil), où il vit et travaille.

Thiago Martins de Melo peint avec obsession les rêves précis de sa femme, des rêves prolifiques et politiquement très engagés qu’il exacerbe encore en y incorporant sa propre image. Ses œuvres établissent ainsi de véritables narrations visuelles dans lesquelles symboles universels et représentations viriles cohabitent de manière à la fois illuminée et réaliste sur la surface de ses toiles de grandes dimensions.

Paulo Nazareth

Né en 1977 à Governador Valadares (Brésil). Vit et travaille à Belo Horizonte (Brésil).

Paulo Nazareth nous conte une histoire qui va de l’Afrique du Sud à Lyon, et les histoires multiples d’une « performance marchée » de quelques milliers de kilomètres qu’il réalise pour la Biennale 2013. L’œuvre de Paulo Nazareth se fonde sur le langage, les idées, les actions et les objets dans le but d’établir ou de révéler les liens qui existent entre les gens et leur environnement. Ses sujets sont souvent liés à la race, à l’idéologie et à la distribution inégale des modes de développement économique. Tout au long du travail de Nazareth, des gestes simples mais forts sont utilisés pour évoquer la mémoire historique et mettre en évidence les tensions sociales et économiques des différents pays qu’il traverse.

Paulo Nimer Pjota

Né en 1988 à São Jose do Rio Preto (Brésil). Vit et travaille à São Paulo (Brésil).

Paulo Nimer Pjota s’empare aussi bien de la façade monumentale de la Sucrière, le lieu principal de la Biennale 2013, que de la surface blanche d’un certain nombre de toiles sur lesquelles il égrène autant d’histoires urbaines. Tout à la fois métaphoriques, atmosphériques et suggestives, les œuvres de Paulo Nimer Pjota mettent en scène une iconographie très riche – plantes, cristaux, crânes, fleurs, objets mécaniques, mots isolés et autres phrases flottent dans une variété d’échelles et de dimensions – avant tout issue des rues de São Paulo.

Gustavo Speridião

Né en 1978 à Vermelho Novo (Brésil). Vit et travaille à Rio de Janeiro (Brésil).

Gustavo Speridião fabrique par le biais d’assemblages et de mises en scène des fictions fondées sur cette grande archive globale qu’est le monde. L’artiste utilise tout ce qui fait image – photographie, collage, dessin, matériaux trouvés et textes – dans un processus où partout se mêlent le désir, le vertige, la frustration et l’enthousiasme.

www.biennaledelyon.com

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24 septembre 2013

Brésil : Perspectives autochtones au Festival Ciné Alter'Natif (cinéma amérindien)

19 septembre 2013

Photographie : Réflexions Recifences Opus 11 de Marcus Brandão

Exposition mise online depuis le site du photographe

www.marcusbrandao.fr/Reflexions/Opus11/

Un cocotier, la mer et le ciel du Brésil. Tôt le matin, sur la plage de Boa Viagem, à Recife, le miroir arrondi d'un kiosque capte les ombres fugitives des passants venus faire leur jogging sur le trottoir du bord de mer. Bientôt, une foule innombrable et bigarrée viendra envahir ces lieux. Mais pour le moment il n'y a que les nuages et quelques cueilleurs de l'aube venus chercher la fraîcheur du matin et quêter une énergie nouvelle.

Ombres inconnues qui passent... Ciel indécis et plein de promesses du petit matin... Et si tout était possible ? S.Garoche.

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17 septembre 2013

Littérature : des personnages attachants et pleins d'espoirs qui avancent sur les chemins sinueux de la vie

Apocalypse des travailleurs HD

L’apocalypse des travailleurs de Valter Hugo MAE

Editions Métailié

Prix des lecteurs de la librairie Nouvelle à Voiron (2013)    

‘Maria da Graça est femme de ménage, elle a l’ambition de mourir d’amour. Elle rêve toutes les nuits qu’elle essaye d’entrer au paradis pour y retrouver monsieur Ferreira, son patron, qui, bien qu’avare et ayant abusé d’elle, lui parlait de Goya, Bergman ou Mozart, des hommes capables d’impressionner Dieu en personne. Mais les portes du paradis sont encombrées de marchands de souvenirs et saint Pierre la repousse à chaque fois. Elle verse aussi tous les soirs quelques gouttes d’eau de Javel dans la soupe de son mari. Quitéria, son amie, se prostitue mais tombe amoureuse d’un émigré ukrainien désespéré. Comme Maria da Graça, tous les personnages de ce roman cherchent leur paradis et, pleins d’espoirs ou sans espoir, ils pensent que le bonheur vaut tous les risques, même s’il faut sauter allègrement dans l’abîme.
V.H. Mãe dessine ici avec humour un portrait caustique et tendre de notre temps, à travers des personnages attachants qui avancent sur les chemins sinueux d’une société perturbée.’

Valter Hugo MÃE est né en Angola en 1971 et vit actuellement au Portugal. 
Il est diplômé en droit et en littérature contemporaine portugaise. 
Poète, musicien et performer, il écrit également des critiques artistiques et littéraires pour plusieurs magazines portugais.
En 2007, Valter Hugo Mãe reçu le Prix Saramago pour son premier roman et en 2012, le prix Portugal Telecom pour son dernier roman.

Bleu corbeau HD

 

Bleu corbeau d’Adriana LISBOA

Editions Métailié

‘Après la mort de sa mère, Evangelina décide de quitter Rio pour les États-Unis, où elle est née treize ans auparavant, et d’y retrouver son père. En compagnie de Fernando, l’ex-mari de sa mère, et d’un petit voisin salvadorien, Carlos, elle recueille les souvenirs des autres pour organiser sa propre histoire. Au cours de ce voyage à travers le Colorado et le Nouveau-Mexique, en écoutant les récits de Fernando, qui a fait partie d’une guérilla maoïste en Amazonie dans les années 70, elle prend conscience du passé du Brésil.
Dans un style sobre et élégant, Adriana Lisboa nous propose une réflexion sur l’appartenance et la construction de soi. Tous ses personnages sont en transit, ils habitent tous des lieux précaires, mouvants, parlent des langues qui ne sont pas les leurs, les mêlent. Elle raconte ces mémoires provisoires, faites de souffrance bien sûr mais aussi remplies d’amitiés sincères, et termine ce roman au moment où la vie de son héroïne commence vraiment, où elle occupe dans le monde un espace qui lui appartient.’

Adriana Lisboa est née en 1970 à Rio de Janeiro où elle a passé la majorité de sa vie.
Elle a vécu en France et partage aujourd’hui son temps entre le Brésil et les Etats-Unis. 
Après des études de musique et de littérature, elle devient enseignante puis auteur et traductrice. En 2001, elle publie Des roses rouge vif. Salué par la critique, ce roman l’élève au rang des auteurs les plus importants de la nouvelle génération littéraire brésilienne, Elle a reçu en 2003, le prestigieux prix José Saramago.
En 2007, en commémoration de l'élection de l'UNESCO de Bogotá comme ville capitale mondiale du livre, le Bogotá 39 Project l'a choisie comme l'un des trente-neuf écrivains latino-américains âgés de moins de trente-neuf ans les plus importants.

17 septembre 2013

Cinéma : la découverte du Brésil à travers le cinéma dans la ville de Rennes

Le Collectif Brésil de Rennes organise, pour la sixième année, un cycle de découverte du Brésil à travers le cinéma du 25 septembre au 4 décembre 2013. Nous souhaitons à travers ces rencontres approfondir la mixité culturelle, en multipliant les échanges.

Nous présentons 5 films sur des sujets très divers et inédits à Rennes ( vieillesse, musique, histoire de la capoeira, classe moyenne....) . Chaque séance est suivie d'un débat animé par un brésilien ou une brésilienne ce qui permet d' aborder différentes facettes de ce pays divers et attractif. Au cours de cinq premières années, le Collectif Brésil a déjà projeté 25 films brésiliens.

Ce cycle sera accompagné d'animations culturelles dans quelques bibliothèques municipales autour de la lecture , de la musique, de la cuisine ( Bourg l’Évêque, Le Triangle...). Par ailleurs nous préparons un café rencontre sur la crise sociale au Brésil durant le mois d'octobre.

Les séances de cinéma auront lieu à 20h30 (tarif 4€)

à la Maison Internationale de Rennes ,7 quai Chateaubriand.

La première séance se déroulera le 25 septembre : Historias de Julia Murat

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16 septembre 2013

Photographie : La MEP expose Sebastião Salgado et Carlos Fausto

Du 25 septembre 2013 et le 5 janvier 2014, la MEP ouvre ses portes à Sebastião Salgado et consacre la quasi-totalité de ses espaces à l’exposition Genesis. Cette grande exposition sera accompagnée alternativement, dans la Vitrine et dans la Galerie des Donateurs, à partir du 2 octobre, des travaux du photographe et ethnologue Carlos Fausto, d’une œuvre vidéo de Gotscho, du reportage en Inde d’Alain Buu, lauréat du Prix photo de l’AFD 2012 et, à l’occasion du 10e anniversaire de la Digigraphie®, d’une rétrospective des donations d’EPSON à la collection de la MEP.

EXPOSITION

SEBASTIÃO SALGADO

GENESIS

Du 25.09.13 au 05.01.14

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Genesis est la grande exposition de Sebastião Salgado, un hommage photographique sans précédent à notre planète.
Les 245 photographies exposées, fruits de huit ans de travail et d’une trentaine de voyages à travers le monde, sont présentées selon un parcours en cinq chapitres géographiques ("Aux confins du Sud", "Sanctuaires naturels", "Afrique", "Terres du Nord", "Amazonie et Pantanal"), qui sont autant de régions du monde explorées par Sebastião Salgago pour nous révéler la nature de notre planète dans toute sa splendeur.

EXPOSITION

CARLOS FAUSTO

NUS ET VÊTUS COMME IL FAUT

Du 02.10.13 au 27.10.13

Carlos Fausto est ethnologue, documentariste et photographe. Depuis 1988, il mène un projet de documentation photographique chez les peuples indigènes de l’Amazonie. La Maison Européenne de la Photographie présente 16 photographies en noir et blanc prises par Carlos Fausto depuis 2000, au cours de ses recherches auprès des Kuikuro, dans le Parc national de Xingu, au sud de l’Amazonie.

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