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Brasilidade - notícias com um toque brasileiro
16 avril 2018

Journée de la Terre : Une vente de photos d’art pour sensibiliser le public à la problématique de l’eau

La journée de la Terre est célébrée le 22 avril depuis 1970. Elle nous rappelle l'interdépendance qui existe entre l'être humain, les autres espèces vivantes et la planète sur laquelle nous vivons.

A l’occasion de la journée de la Terre, ArtPhotoLimited s'associe à l'ONG  Surfrider, acteur européen de la préservation des océans ainsi que des littoraux, pour organiser une vente de photographies sur le thème de la Mer. Tous les bénéfices récoltés lors de cette opération seront entièrement reversés à Surfrider.

Pour sensibiliser le public à la problématique de l’eau, le site ArtPhotoLimited a décidé de mettre en vente une série de photos consacrée à cette ressource autour de trois déclinaisons : 

- L’impact de la montée des eaux dans les pays en développement avec l’exemple du Bangladesh ;

- La problématique des déchets aquatiques;

- La sauvegarde des Océans

Découvrez les photographes de notre sélection : 

Nick Pumphrey : Photographe britannique passionné par les océans et les sports de glisse, Nick sillonne le globe de l’Australie à l’Islande. Dans sa série engagée « Trash », il propose une vision sublimée mais dérangeante de la pollution marine. 
Jashim Salam : Né et basé au Bangladesh actuellement très touché par la montée des eaux due au réchauffement climatique. Jashim, photographe documentaire choisit sa famille et les habitants de son quartier pour dresser des portraits submergés saisissants. 
Damien Poullenot : Ancien body-boarder accompli et amoureux des vagues. Damien Poullenot est l’un des photographes français les plus doués de sa génération pour représenter des scènes magistrales de notre océan.

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The woman and her basket ©Nick Pumphrey

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Life in Flood © Jashim Salam

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Aspiration ©Damien Poullenot

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12 avril 2018

Poésie latino-américaine : Les Corbeaux de Pedro Rosa Balda, un lien entre écriture et peinture

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19,04.2018 À 19H

AMBASSADE DE L'ÉQUATEUR EN FRANCE

Présentation du livre traduit de l’espagnol par Rémy Durand, éditions associatives Villa-Cisneros.

Publié en partenariat avec l’Ambassade d’Équateur en France et l’Alliance Française de Quito.

Le titre de cet ouvrage est inspiré du tableau Champ de blé aux corbeaux de van Gogh (juillet 1890), peint quelque temps avant son suicide. Les ailes des corbeaux semblent y former un V (qui font écho au V de ''cuervo'') et disent l’intention de Pedro Rosa Balda d’établir un lien entre écriture et peinture. Écriture et peinture qui sont étroitement reliées dans ce recueil où la première partie est un dialogue entre le poète et le peintre et où la deuxième partie est un monologue imaginaire de van Gogh.

Pedro Rosa Balda (Manta, Équateur), réside actuellement en Équateur après avoir vécu longtemps en France où il exerçait les métiers de professeur et de traducteur. Il est l’auteur des recueils de poésie Veladuras (éditions El Conejo, Quito 2007) et Uves como cuervos (El Ángel éditeur, Quito 2013). Il figure dans « Anthologie des poètes latino-américains de la fin du XXe siècle » (éditions Vericuetos, Paris 1998). Ses poèmes ont été publiés dans plusieurs revues littéraires dont les plus récentes sont les revues numériques « Aurora Boreal » et « Les carnets d’Eucharis » (2016). Il se consacre aussi à la peinture et à la photographie. Uves como cuervos / Les corbeaux est son premier livre traduit en français.

12 avril 2018

Je suis encore favela: un recueil de nouvelles autour d'une réalité brésilienne

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Entre fiction et réalité, un recueil pour lire et appréhender la favela moderne.

La favela apparaît ici sous un visage inédit. Tour à tour réalistes, poétiques, drôles, violentes ou désespérantes, ces histoires retracent le quotidien des favelados. Familles ou mères célibataires, adolescents, homosexuels, travailleurs ou voyous, flics ripous… Regards et perspectives se croisent.

Je suis encore favela donne la parole à une vingtaine d’écrivains, issus de la favela ou de la classe moyenne, hommes et femmes, autour d’une réalité brésilienne – et au final très humaine : exclusion, pauvreté urbaine, mais aussi ambitions et rêves. Car malgré la violence, ces quartiers ont beaucoup d’autres histoires à raconter.

Deux parties : des nouvelles, et des articles. Après la fiction, l’information, pour en savoir plus sur les grands thèmes liés au Brésil et aux favelas.

Ce recueil de nouvelles, titre phare de la maison d’éditions, est le 3ème sur la favela après Je suis favela (2011) et Je suis toujours favela (2014). Chaque volume est totalement indépendant. Parce que la favela change constamment.

Je suis encore favela donne la parole à une vingtaine d’écrivains, hommes et femmes, autour d’une réalité brésilienne – et au final très humaine : exclusion, pauvreté, mais aussi ambitions et rêves. Car malgré la violence, ces quartiers ont beaucoup d’autres histoires à raconter.

Pour en savoir +: www.anacaona.fr

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