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Brasilidade - notícias com um toque brasileiro
31 octobre 2009

Cie à fleur de peau prône e métissage des genres

Denise Namura et Michael Bugdahn vous proposent deux pièces chorégraphiques.

Du mercredi 18 au dimanche 29 novembre 2009

Théâtre du Lierre – Paris

Denise Namura vient du Brésil, Michael Bugdahn d'Allemagne; ils vivent à Paris où ils ont fondé leur compagnie en 1988. À ce jour ils ont créé une trentaine de spectacles pour à fleur de peau et d'autres compagnies, au Brésil et en Europe.

La compagnie a participé à de nombreuses manifestations internationales de renom et tourné ses spectacles dans une douzaine de pays, comptant environ 650 représentations depuis vingt ans.

Denise Namura et Michael Bugdahn considèrent la chorégraphie comme un moyen pour véhiculer l'émotion, une forme porteuse d'une signification concrète. Basée sur le corps dans son intégralité comme instrument polyvalent, leur démarche artistique s'appuie sur les moyens d'expressions de différentes disciplines. La théâtralisation du mouvement dansé, le tragi-comique et l’émotion sont des éléments indissociables du développement de leur discours dansé. En prônant le métissage des genres, ils explorent la condition humaine avec délicatesse, générosité et humour afin de réaliser un partage immédiat avec le spectateur.

Pour en savoir + :

www.letheatredulierre.com

http://cieafleurdepeau.blogspot.com

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31 octobre 2009

13ème édition du festival Senzala de Capoeira et Culture brésilienne

Du 24 octobre au 1er novembre à Montpellier

Les soirées à ne pas manquer à Montpellier et les environs

Soirée Rio/Bahia - samedi 31 à la Salle Apropo du Monde à St. Jean de Védas

Avec le groupe Makuetto Groove et la participation du DJ Letho

Soirée  Roda de samba - dimanche 1er novembre au Bar La Pleine Lune 

Pour en savoir + : www.associationsenzala.com

29 octobre 2009

Brasilidade, l'info avec une touche brésilienne, participe de l'émission Araponga

Ce soir, à partir de 20 heures, en direct de Montpellier, l'émission ARAPONGA animée par Marta Marinho, reçoit Silvana Conte, journaliste brésilienne et directrice du web magazine Brasilidade.

Pour en savoir + : www.divergence-fm.org (93.9 FM)

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29 octobre 2009

Les Brésiliens Cripta et Victhé participent du projet Né dans la Rue – Graffiti à la Fondation Cartier

Jusqu’au 29 novembre 2009

Plusieurs œuvres seront créées par une sélection d’artistes venus du monde entier, dont les Brésiliens Cripta et Vitché. Il y aura la projection d'un film sur les "pichações" dans les rues de São Paulo, de João Wainer en co-production avec la Fondation Cartier.

Fondation Cartier pour l'art contemporain

Pour en savoir + : http://fondation.cartier.com

28 octobre 2009

9ème Festival International du Nouvel Art Brésilien BrasilNoAr 2009

Barcelone – Novembre 2009

Musique – Cinéma – Expositions - Conférences – Cours

Pour en savoir + :  www.brasilnoar.com

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Photo: Araquém Alcântara

Araquém Alcântara (fotografia – de São Paulo/Brasil)

Projeto: Brasil Iluminado

Araquém Alcântara, é um dos precursores da fotografia de natureza no Brasil e o mais importante fotógrafo desta especialidade em atuação no país. Seu trabalho, presente em acervos de museus e galerias de vários países, tornou–se hoje uma referência nacional e fonte de inspiração para novos fotógrafos. É hoje um dos mais destacados e combativos artistas em defesa do patrimônio natural do Brasil. É autor de “TerraBrasil”, o livro de fotografia mais vendido no Brasil.
Entre seus principais prêmios constam um Prêmio Internacional Unicef de Fotografia, em 1994, um prêmio Jabuti, pelo livro “Amazônia”, no ano de 2006 e três prêmios Abril de Jornalismo, nos anos de 2002, 2004 e 2008.
Em sua vasta produção constam 40 livros, 5 prêmios internacionais, 32 nacionais, 75 exposições individuais, inúmeros ensaios e reportagens para publicações nacionais e estrangeiras.

 


 

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28 octobre 2009

13ème édition du festival Senzala de Capoeira et Culture brésilienne

Du 24 octobre au 1er novembre à Montpellier

Les stages à ne pas manquer

Pour les enfants  de 4 à 11 ans au Gymnsase Spinosi 

Du lundi 26 au jeudi 29 octobre, de 14h à 18h  

Le Dimanche 1er novembre, de 10 h à 17 h 

Initiation et découverte de la capoeira

Du lundi 26 au mercredi 27 octobre de 19h à 21h,

Au Gymnase Olympie – piscine Olympique à Antigone

Percussion  Afro-Brésilienne avec Patinho Axé

Les 24 et 25 octobre à 15h

Danse Afro-Brésilienne avec  Jirlan Gonsalves

Les 24 et 25 octobre à 15h

Percussion de Pernambuco avec Jairo Rodrigues

Le  samedi 31 oct. à 14h au Gymnase Spinosi à Odysseum

Senzala_Capoeira_Logo

Les soirées à ne pas manquer à Montpellier et les environs

Soirée Forró - vendredi 30 au Bouche à Oreille

Avec la participation du DJ brésilien Letho

Soirée Rio/Bahia - samedi 31 à la Salle Apropo du Monde à St. Jean de Védas

Avec le groupe Makuetto Groove et la participation du DJ Letho

Soirée  Roda de samba - dimanche 1er novembre au Bar La Pleine Lune 

Pour en savoir + : www.associationsenzala.com

 

28 octobre 2009

L’un des grands noms du rap brésilien : Avante O Coletivo

Jeudi, 29 à la Favela Chic, Paris

Grâce à des vers créatifs, des rimes intelligentes, des "batidas" dansantes en relation avec les différents styles de Rap (comme le ragga, reggae et la samba), avec toujours beaucoup de prestance et d'originalité sur scène, Avante O Coletivo représente aujourd'hui une des grandes surprises du Rap brésilien des dernières années. 

Au delà de leur travail musical, l'engagement d'Avante O Coletivo est avant tout social. Le groupe est en effet responsable d'un grand travail d'éducation auprès des jeunes de la plus grande favela de São Paulo, Heliópolis.

Pour en savoir + : http://www.myspace.com/avanteocoletivo

AvanteOColetivo21

 

27 octobre 2009

Roberto Sapo : on ne peut pas échapper au choc culturel !

Roberto Sapo (*) est née au Brésil dans la ville de Rio de Janeiro, qu’il quitte pour parcourir le monde avant de s’installer à Montpellier. En parallèle à ses activités de musicien, Roberto se dédie au projet culturel, éducatif et ludique SAPOTEK – construction d’instruments musicaux avec des matériaux recyclés. Maître dans le territoire de la création musicale, Roberto a trouvé en France un terrain fertile pour le développement de ses idées.

robertosapo

Carnet intime

Lieu de naissance : Quartier du Meier, Rio de Janeiro

Vin, bière ou cachaça : N’importe quelle marque de bière pourvu qu’elle soit bien fraîche

Chanteur préféré : En ce moment j’écoute Jorge Benjor

Film préféré : Le dernier de Pedro Almodovar

Plat préféré : Caldinho de feijão com pimenta

Ecole de samba préférée : Salgueiro mais mon cœur bat aussi pour Mangueira

Adresse préférée au Brésil : A Rio entre le Posto 9 et la forêt de la Tijuca

Adresse préférée en France : La médiathèque Emile Zola, à Montpellier

Brasilidade : Qu’est-ce que la musique représente pour toi ?

Roberto Sapo : Il est difficile d’expliquer avec des mots. La musique est la chose la plus importante de ma vie. La musique est un pouvoir, une expérience qui nous dépasse. Avec la musique, on devient UN.

Brasilidade : Qu’est-ce que vivre en France signifie pour toi ? Qu’est-ce qui a changé dans ta vie ? Comment concilies-tu les deux cultures ?

RS : J’ai trouvé en France un terrain fertile pour mes idées et beaucoup d’ouverture. Au Brésil, je n’avais pas d’espace. Les français consomment plus de culture que les brésiliens. Cela fait deux ans et demi que je vis ici et il faut avoir beaucoup de patience quand on vit à l’étranger. On ne peut pas échapper au choc culturel ! Quand deux personnes veulent la même chose et que personne ne se comprend…il faut être tolérant… !!

Brasilidade : Tu es marié avec une femme française. Penses-tu que la façon d’aimer ici est différente de la façon d’aimer au Brésil ?

RS :  Oui et non. L’amour est un sentiment et il n’a rien à voir avec la nationalité. Ce qui change est la façon de voir la relation. On ne fonctionne pas de la même façon au Brésil et en France. Aimer une femme brésilienne est plus facile car nous avons les mêmes références, les mêmes codes. Mais cela ne veut pas dire que c’est mieux ou pire ! Disons que la différence entre la femme brésilienne et la française, c’est que la brésilienne se prend moins la tête !

Brasilidade : Parle-moi de ton projet SAPOTEK.

RS : Le projet a démarré en 2001 au Brésil auprès des communautés démunies, des favelas et des écoles dans certains quartiers à Rio. L’idée est de construire des instruments musicaux avec des matériaux alternatifs (parfois trouvés dans les poubelles), les recycler et développer l’intégration sociale au travers de la musique. Depuis sa création, le projet ne cesse d’évoluer. Je travaille actuellement dans plusieurs lieux à Montpellier et c’est une grande satisfaction de voir que le métissage art-éducation-musique-recyclage a trouvé sa place !

Brasilidade : Dis-moi quelque chose de très personnel à propos de toi.

RS : J’aime apprendre. J’ai un rituel matinal : j’adore être bien informé et j’éprouve le besoin d’ouvrir le site de O Globo tous les matins. Ensuite, je lis El País et puis je lis tout ce que je trouve d’intéressant ! Quand j’étais petit, je voulais être journaliste …

(*)Crapaud

 

26 octobre 2009

Terrains brésiliens. Échanges d’expériences : les sciences sociales appliquées au Brésil

Vendredi 30 octobre 2009

Intitulée Terrains brésiliens. Échanges d’expériences, cette première journée interdisciplinaire du GRIB a pour thème central les méthodes des sciences sociales appliquées à l’étude du Brésil contemporain.

Elle aura lieu à la Maison de l'Amérique (Paris) le vendredi 30 octobre (de 9h à 17h). Les participants à cette journée sont des doctorants et chercheurs réalisant ou ayant réalisé des recherches empiriques sur le Brésil. Ils présenteront les approches méthodologiques qu’ils ont mobilisées pour effectuer leurs recherches de terrain au Brésil. Ils montreront comment les méthodes de recherche développées dans leurs disciplines respectives sont susceptibles d’inspirer les réflexions pour d’autres disciplines.

GRIB - Groupe de Recherche Interdisciplinaire sur le Brésil

www.gribresil.org

MAISON DE L'AMÉRIQUE LATINE

www.maisondesameriqueslatines.com

25 octobre 2009

Viva Favela ! Quand les démunis prennent leur destin en main

Par Joaquim Melo, avec Elodie Bécu et Carlos de Freitas, Ed. Michel Lafon

Le Conjunto Palmeiras n’était au départ qu’une favela, un bidonville à vingt kilomètres de la ville touristique de Fortaleza, au nord du Brésil. Il est aujourd’hui un véritable quartier.

Les habitants se sont battus depuis les années 1970 pour de meilleures conditions de vie, affrontant tour à tour la dictature, l’administration et les catastrophes climatiques. 
Joaquim Melo, ancien séminariste et pilier de cette aventure, témoigne avec émotion de son engagement dans ce combat collectif contre la pauvreté.

Après de nombreuses batailles pour relier le bidonville aux services de la ville, il nous explique comment, allant contre l’avis de la Banque centrale du Brésil, il a créé une monnaie propre à la favela et relancé le commerce local, notamment grâce au micro-crédit. Aujourd’hui, quarante-six banques communautaires ont vu le jour sur le modèle de celle du Conjunto Palmeiras : la Banque Palmas. Les habitants gèrent à présent une enveloppe de près de deux millions de reais !

À l’heure où le monde recherche des modèles anti-crise et des alternatives pour combattre la pauvreté, Joaquim Melo nous délivre avec son livre Viva Favela ! un message d’espoir et révèle les clefs de son engagement aux côtés des habitants des Palmeiras. Un témoignage riche et universel à mettre entre toutes les mains.

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Pour en savoir + : www.banquepalmas.fr

 

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